Depuis quarante ans, une élite veut liquider la France. Depuis 2017, cette élite est au pouvoir.
Olivier Marleix a été l’un des premiers hommes politiques à dénoncer les mœurs d’une certaine élite, au moment de la vente d’Alstom. C’est à cette occasion qu’il a rencontré celui qui deviendrait un des plus grands liquidateurs du pays : Emmanuel Macron, alors ministre de l’Économie. Depuis 2017, le jeune président poursuit son projet : ouvrir les portes de la France aux capitaux et gouvernances étrangers, à une mondialisation déloyale.
Dans cet essai, Olivier Marleix fait un bilan sans concession des années En Marche, où les intérêts privés et l’appétence pour l’argent ont définitivement supplanté l’intérêt général. Il nous dit ainsi combien il est urgent d’en finir avec le macronisme, au risque sinon de voir notre souveraineté défaite et notre pays et ses industries définitivement liquidés.
*
* *
Prolonger :
La finance en embuscade - Capitalisation, l’autre nom de la réforme des retraites
Les plus grosses manifestations de l’histoire de Rodez. Records battus à Laval ou Clermont-Ferrand. Deux cent mille personnes à Marseille. Depuis des semaines, la mobilisation est puissante. Sans doute parce que l’enjeu excède l’âge de la retraite et le texte examiné au Parlement. Dans les rues de France, on rejette aussi une société du chacun pour soi, où l’accumulation spéculative l’emporte sur la solidarité. Le Monde diplomatique par Grégory Rzepski Mars 2023, pages 16 et 17
Le gouvernement mérite la censure
La censure contre le gouvernement Borne est l’option la plus souhaitable à portée de main des députés. Elle serait le moyen d’en finir avec une réforme massivement rejetée par la population, mais aussi de sanctionner un pouvoir inconséquent, qui plonge le pays dans une crise politique inutile. Médiapart Par Fabien Escalona le 20 mars 2023
Assemblée nationale : 20 mars 2023 : Analyse du scrutin de la motion de censure