- suivie par 19 abonnés PS: Bon gré, congrès
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Lassana, lycéen sans-papiers devenu héros français et symbole international
Ce que Lassana a fait sur son lieu de travail, le 9 janvier dernier, personne d'autre que lui n'aurait pu le faire ainsi... -
Allocations: de l'électricité dans le gaz
Comme le dit l’ensemble de la presse, c’est un dossier explosif. Une affaire d’Etat. Moduler les allocations familiales en fonction des revenus est un chantier sur lequel se sont cassé les dents tous les gouvernements, de droite comme de gauche, depuis vingt-cinq ans… Pendant ce temps, le budget des Français se fait croquer par d’autres dents, autrement plus pointues, par exemple le prix du gaz ou de l’électricité, sans que ça ne suscite les mêmes passions. -
Des enseignants: la crise des lycées n'est pas liée aux violences
A l'appel des syndicats de l'éducation nationale, les professeurs des académies de Créteil, Paris et Versailles étaient nombreux à manifester jeudi 18 février. Au-delà du débat sur la violence à l'école, ils dénoncent en vrac les suppressions de postes ou la réforme des lycées. Un mécontentement et un malaise qui gagnent de plus en plus les jeunes enseignants. Comme en témoignent ces paroles de profs.
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Un escorteur de la PAF raconte la violence ordinaire des expulsions forcées
Menottes, sangles, pour expulsions, octobre 2009, PAF © Carine Fouteau
Mediapart a recueilli le témoignage d'un agent de la police aux frontières (PAF), chargé de «raccompagner» les étrangers en situation irrégulière dans leur pays d'origine. Il raconte les différentes méthodes utilisées, dont le recours à la force pour contraindre les personnes à monter et rester dans l'avion. Outre la panoplie usuelle, des sangles aux menottes, en passant par les ceintures abdominales, il y a aussi les plaquages au sol ou la «régulation phonique» qui consiste en un étranglement pour empêcher l'expulsé de crier. Ce recours à la violence est encadré et banalisé. Sollicité par Mediapart, le fonctionnaire de police a accepté de raconter son quotidien au nom de la «transparence» tout en souhaitant rester anonyme. Son récit est publié en deux volets.
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Chine: combien de morts et disparus parmi les Ouïghours?
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L'Elysée fait la sourde oreille face aux 30.000 emplois vie scolaire
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Le Grand Paris: place au rêve