Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Bravo pour la merveilleuse conclusion d'un article, enthousiasmant pour le gauche alternatif radical que je pourrais être: ". . . une sortie (de la Grèce) de l’euro impliquerait de passer d’un trop-plein (?) à un vide institutionnel, forcément angoissant. L’accord du 13 juillet n’offre donc que des défis douloureux à la gauche radicale. En même temps, celle-ci pourrait y gagner une bien meilleure lucidité sur son environnement." Avant la sortie de la Grèce et son chantage à la charité des pays en meilleure forme qu'elle, pourquoi la gauche alternative ne fait-elle pas des statistiques son livre de chevet ? C'est atroce mais une lucidité, sans doute dangereusement de droite et néo libérale, montrerait que la Grèce n'est pas un état viable, que son taux de recouvrement des impôts et de la TVA est très mauvais, que dans six ou douze mois il faudra mettre sur les rails un nouveau train de charité, comme pour tant d'autres pays dans le monde. Comment mettre fin à l'emprise hégémonique (insupportable, de droite et néo-libérale) de l'Allemagne et des pays dans sa mouvance: démonter les usines allemandes et les remonter en Grèce, et un peu en France, mon brave, puisque si on vendait plus de sacs Vuitton produits dans l'hexagone aux Chinois on pourrait y augmenter le budget de l'Education Nationale pour fabriquer encore plus de pourvoyeurs de solutions géniales alternatives radicales de gauche pour dépenser plus qu'on ne gagne !
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