Ce titre et cette citation sont extraits d’un article du journal Sud-Ouest ce matin.

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Il semblerait donc que l’opinion se divise en deux camps, clivage oblige :
- le gouvernement, un certain establishment médical et à quelques rares exceptions près la presse, soit hostile, soit d’un silence étonnamment rare, contre le savant fou,
- et de l’autre des populistes autant que possible de droite, gilets jaunes, etc.
Le tableau est posé. Et cela laisse toute personne soucieuse de mesure et de vérité pour le moins interrogative.
Accuser la presse de partialité ou soutenir une démarche qualifiée de non scientifique vous classerait obligatoirement dans le groupe des populistes.
Soutenir, alors que vous n’êtes pas un « sachant », comme ils disent, une démarche que l’on vous explique être non scientifique aurait le même résultat.
Par conséquent le premier groupe se présente comme bien plus rassurant, sécurisant, conforme, labellisé d’ailleurs BFMTV!
Mais parce que vous êtes du pays de Descartes, le doute vous assaille.
D’un côté une "grippette" pour laquelle tout a été prévu, notamment les masques et un système de santé hors norme, puis je ne vais pas tout citer, ni faire un tableau apocalyptique, résumons: plus de 8000 morts à ce jour.
De l’autre, des tests systématiques, un traitement non scientifiquement prouvé, certainement appliqué à des gens qui ne sont pas malades ou qui auraient guéri de toute façon, une baisse de la charge virale en moins de huit jours, non scientifiquement prouvée, un taux de morbidité tellement bas qu’il est certainement « trafiqué ».
Alors non, vous n’allez quand même pas prendre le risque que l’on vous traite de gilet jaune ou de populiste de droite !