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Billet de blog 11 octobre 2010

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REFONDATION REPUBLICAINE REVOLUTIONNAIRE : COMMENT (1°)?

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REFONDATION REPUBLICAINE REVOLUTIONNAIRE : COMMENT (1°)?

Ce monde est à hurler !

Complexification artificielle et instrumentalisation rendent opaques, au moins autant que les « sorties », les rentrées budgétaires de l’état.

Pourtant originellement parfaitement défini comme la part de revenu consentie afin de jouir librement du reste, l’impôt, qui, sur le fond, ne se différencie en rien des autres prélèvements obligatoires, est devenu instrument principal de gestion politique, économique et sociale.

Le niveau atteint par la fiscalité et sa gestion la situe très au-delà de l’acceptable.

La pression des prélèvements obligatoires sur l’économie réelle est pure aberration.

C’est pourquoi il convient de repositionner la question afin de parvenir à un résultat à la fois suffisant, dynamique et juste.

Une disposition, unique et d’une mise en œuvre parfaitement simple, est de nature à régler définitivement la question du financement d’une refondation républicaine, s’agissant d’une opération nécessairement révolutionnaire, il est clair que cette action s’éloigne néanmoins de toute considération réformiste, ce quoi qu’il en semble.

« Le pourcentage de récupération de la taxe sur la valeur ajoutée passe de cent à zéro » est de nature à modifier l’ensemble de la donne fiscale d’une part, de l’économie d’autre part.

Comme bien évidemment, il ne s’agit pas ici d’accroître un niveau de prélèvements obligatoires devenu intolérable, un ensemble de mesures d’accompagnement vient compléter cette disposition.

Au premier rang de ces mesures, un gel des revenus et des prix, avec effet rétroactif, est indispensable afin de garantir, préventivement, l’efficacité de sa mise en œuvre en rendant inutiles toutes réactions d’opérateurs dont on connaît la capacité d’adaptation.

Ainsi éloignée d’un angélisme naïf, l’application de cette mesure est de nature à permettre, confortablement, un plein effet économique.

A côté du financement des taches régaliennes, l’attribution à l’impôt du rôle d’instrument de justice sociale et non plus de clientélisme politique, légitime alors sa fonction économique puissamment dynamisante.

C’est pourquoi, la totalité des prélèvements appliqués aux revenus est simultanément annulée.

Un « brut pour net », appliqué soudainement à l’ensemble des revenus, produit, avec une ampleur sans précédent, les effets mécaniques connus, contextuellement plus marqués sur la consommation que sur l’épargne, générant ainsi un véritable décollage en terme de croissance donc d’emploi.

C’est ce retour progressif à l’équilibre qui permet de libérer alors prix et revenus.

Ce monde est à hurler !

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