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Ahmad Ahmad affirme avoir été menacé devant des témoins par le président de l’EST Hamdi Meddeb à l’occasion de la finale ayant opposé le WAC de Casablanca au club tunisien.
Le président de la CAF ne dévoile en revanche ni le contenu ni le genre de menaces qu’il aurait reçues éventuellement du responsable tunisien.
Le match s’est terminé, pour rappel, dans la confusion la plus totale après un but marqué par un joueur wydadi qui n’a pas été validé par l’arbitre sous prétexte que le joueur aurait été en position hors jeu.
Les Casablancais soutenant que leur joueur n’était pas hors jeu ont refusé de continuer à jouer. L’ultime recours à la VAR a été rendu en plus impossible car selon les dires des Tunisiens la machine ne fonctionnait pas.
Plusieurs responsables, grands journalistes et commentateurs tunisiens ont reconnu qu’effectivement en marquant son but le joueur Casablancais n’était pas en position hors jeu. Une erreur d’appréciation de l’arbitre de touche qui aurait pu être rectifiée si la Var était en bon état de fonctionnement.
Le club marocain crie depuis au sabotage et soulève le problème de l’arbitrage.
Les instances de la CAF se réuniront aujourd’hui mardi dans la journée à Paris pour savoir quelle suite donner aux réclamations du Wydad de Casablanca qui estime avoir été lésé lors de sa rencontre avec le Tarraji Tunisien ( Esperance Sportive de Tunis ).
Pour rappel, réglementairement, les joueurs n’ont pas le droit de demander eux-mêmes le recours à la Var. Réglementairement toujours, l’équipe qui refuse de continuer de jouer un match est déclarée perdante.
La CAF devra trouver aujourd’hui une solution de juste milieu à même de contenter le club casablancais et nos frères Tunisiens.