MONT DE MARSAN (40), le lundi 12 mai, à 20 h, au château de Nahuques, avenue de Villeneuve. A l’invitation du Parti de Gauche et d’Attac.DAX (40), le mardi 13 mai, à 20H, à l’ Espace Félix Arnaudin, 11, rue Abbé Bordes, 40990 Saint-Paul-lès-Dax. A l’invitation d’Attac-Landes-Côte-Sud.
J’observe des approches très différentes dans les textes qui sont proposés aux instances municipales, départementales ou régionales sur le GMT.Il me semble important, pour fonder la légitimité d’une telle motion,a) que celle-ci soit précédée d’un débat sur le mandat européen de négociation,b) qu’il soit souligné, à la fois pour justifier le débat et pour motiver une motion, que le projet d’accord en négociation s’impose aux collectivités territoriales.Il me semble très important, pour éviter le piège dans lequel veulent entraîner les professionnels du consensus, de refuser toute idée d’amender le mandat de négociation. La pratique nous apprend que c’est ainsi qu’on entre dans une logique qu’on refuse au départ. C’est ainsi qu’au Parlement européen sont laminées les idées les plus progressistes.La demande de la motion doit porter exclusivement sur le retrait de la France de la négociation et sur le refus de voir appliqués les termes d’un éventuel traité au territoire de la collectivité territoriale concernée.On trouvera, ci-dessous, deux propositions. Un premier texte est destiné à demander l’examen du mandat de négociation; un second texte est une proposition type de motion.Obtenir des dizaines de motions ainsi libellées contribuera à notre combat pour le rejet de ce projet.Bon courage.
LILLE, le lundi 7 avril à 18h30, salle du Gymnase, place Sébastopol, métro République. A l'appel des associations, syndicats et partis politiques du Collectif contre le GMT.LUXEMBOURG, le mardi 8 avril à 20H, au Casino Syndical de Bonnevoie, 63, rue de Bonnevoie. A l’invitation du Comité STOP TAFTA Luxembourg, de l'Institut pour les Etudes Européennes et Internationales de Luxembourg et des Amis du Monde diplomatique.
Il n’y a pas d’Europe sociale. En dépit des promesses et des engagements, en dépit de la magnifique Charte sociale de Turin et de tous les textes qui ont suivi et qui n’ont qu’une valeur indicative. Chacun sait, et les juristes mieux que d’autres, qu’il n’y a pas de droits sans possibilité de les faire respecter. C’est la dramatique faiblesse des Conventions sociales de l’Organisation Internationale du Travail.