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Comment les classes dominantes ont détourné le suffrage universel
Macron mène une politique favorable seulement aux 0.1 % les plus riches. Pourtant, c'est le suffrage universel qui l'a désigné. Comment les élites ont-elles détourné le suffrage universel, de 1848 à nos jours? Réponse en 7 points. -
Football: les secrets du fiasco de Mediapro
Jaume Roures, lors de la conférence de presse du 21 octobre. © Franck Fife / AFP
Coups tordus, bluff, enchères délirantes : Mediapart révèle les coulisses de l’irruption du géant sino-espagnol, dirigé par une ex-figure du trotskisme, sur le marché français des droits TV du football, puis son naufrage. Une invraisemblable saga qui révèle que ce sport est désormais à l’image du capitalisme financiarisé et peut être gravement déstabilisé par des bulles spéculatives.
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Emmanuel Macron et le palais des rêves
La plus secrète, la plus puissante, la plus terrifiante institution qui se puisse imaginer : une administration chargée de collecter les songes de tout un chacun, de les rassembler, puis de les trier, de les classer, de les interpréter, afin d’isoler ces « maîtres-rêves » dans lesquels le destin de l’Empire et de son tyran pourra être déchiffré (Ismaïl Kadaré, Le palais des rêves). -
Coincé par ses propres renoncements, Macron cherche une issue de secours
Dans le défilé parisien du 28 novembre. © Samuel Boivin/NurPhoto via AFP
Les manifestations massives de samedi n’ont suscité aucun commentaire du pouvoir sur le fond des revendications. À peine certains ont-ils concédé la nécessité de retravailler l’article 24 de la loi sur la « sécurité globale » et de plancher sur de nouvelles propositions pour recréer de la « concorde ». Tout en continuant de dénier la nature du problème.
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A l’Assemblée, le gouvernement persiste et la majorité vote
Jean Castex lors des questions au gouvernement, mardi 24 novembre. © Anne-Christine POUJOULAT / AFP
Sur la défensive, l’exécutif a maintenu mardi, à l’Assemblée nationale, un cap largement critiqué. La loi de « Sécurité globale » a été votée par une majorité divisée mais soutenue par la droite et l’extrême droite.
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Et maintenant, le gouvernement se met le Parlement à dos
Gérard Larcher et Richard Ferrand, le 26 novembre. © Ludovic Marin/AFP
Les manœuvres de Jean Castex pour une réécriture de l’article 24 de la loi sécurité ont ulcéré la majorité et créé une crise institutionnelle. Face aux images de « l'agression de Michel Zecler »», Emmanuel Macron réclame au gouvernement « des propositions pour réaffirmer le lien de confiance » avec la police. Une fois de plus.
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Darmanin nie l’évidence, l’Assemblée vote l’article 24
Gérald Darmanin, le ministre de l'intérieur, à l'Assemblée nationale le 20 novembre 2020. © Bertrand Guay / AFP
Vivement critiqué, l’article 24 de la loi de sécurité globale a été adopté vendredi soir à l’Assemblée nationale. Au cours des débats, les groupes de gauche ont tenté de démontrer l’atteinte aux libertés que cette mesure occasionnait. En vain.
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Article 24: Castaner réécrit, Darmanin persiste et signe
Une heure après que Christophe Castaner eut annoncé la « réécriture complète » de l’article 24 de la loi Sécurité globale, Gérald Darmanin, auditionné à l’Assemblée nationale, s’est réaffirmé en « avocat » des forces de l’ordre. Rien ne bouge donc vraiment, malgré l’accumulation d’images de violences policières.
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Une autre République pour sortir de la crise
La Convention pour la 6° République a adopté un texte qui résume son analyse de la situation et rappelle un certains nombre de conditions pour que la crise qui affecte le pays trouve des solutions durables. -
D’un confinement à l’autre, une puissance publique inorganisée
Quatre sociologues ont dressé le bilan critique de la gestion de la crise sanitaire. Le tableau est celui d’une puissance publique inorganisée, mal préparée, n’en tirant pas les bonnes leçons et formant mal ses élites.