Deux parlementaires (dont une issu de la majorité présidentielle) viennent de remettre au gouvernement un rapport alarmant sur l'état des soins en psychiatrie en France (source : Médiapart). L'auteur apporte son analyse à cela.
Le contrôle médical actuel est l'occasion pour l'auteur de présenter la convention signée par les médecins libéraux psychiatres avec l'assurance maladie, pour l'exercice en secteur 1, c'est à dire sans dépassement d'honoraire. Comment sont donc rémunérés les médecins libéraux ?
Selon un collectif de chirurgiens ophtalmologistes de renom, professeurs et maîtres de conférence à l'Université, "une telle épidémie de blessures oculaires gravissimes ne s’est jamais rencontrée". Leur courrier d'alerte au chef de l'État est resté sans réponse.
Emmanuel MACRON a réfuté hier le terme de répression à l'égard du mouvement citoyen des gilets jaunes. Le déroulement de ses arguments est malheureusement bien connu des psychiatres.
Les revendications populaires pacifistes du mouvement spontané des gilets jaunes sont une nécessité de santé publique. Le docteur Romain PADOVANI, psychiatre, leur apporte son soutien le plus fort
Si les assurances et banques vivent, c'est bien parce que la souveraineté populaire leur en a donné le droit. Elles ont une mission de service public que tout le monde connaît. CARDIF semble l'avoir oublié et décide de ne pas être solidaire avec les personnes qui souffrent de schizophrénie !
L'hôpital public se fissure, des salariés sont maintenant en grève de la faim. Les responsables continuent pourtant imperturbablement leur politique violente, comment se fait-il que les choses ne changent pas ? Éléments de réponse
La loi de 2004 portant sur l'organisation de la sécurité sociale a eu l'effet que tout le monde redoutait : le praticien conseil a perdu son indépendance ! Conséquence ? La logique managériale de la gestion du budget de la santé est en train d'écraser la logique de santé individuelle et collective. Le conseil de l'auteur ? Éviter de tomber malade.
Les hôpitaux publics de Psychiatrie de Rouen, Amiens, Le Havre et Paris ont uni leurs forces hier pour dénoncer l'état calamiteux de l'hôpital et la maltraitance des usagers qui en découle.
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