Je n'ai écouté que la vidéo que j'ai incrustée dans le blog. J'ai remarqué juste l'équilibre de ce discours d'une heure. Pour le reste, tout est possible, le pire comme le meilleur. il a le mérite de souligner les collusions coopération labo et spécialistes et pouvoir (elles existent depuis toujours et existerons toujours, le problème est la transparence!), et surtout, surtout, l'équilibre entre libertés individuelles et politique publiques.
Également le problème du financement privé de la recherche avec la tentation de publier hâtivement des résultats peu fiables.
Son point de vue sur la politique de santé curative, d'urgence et non préventive est très pertinent. Ainsi que le terrible constat : ce sont les couches les plus pauvres qui paient la facture : pollution, travail pénibles, précaire, faiblement rémunérés et affaiblissement de leur santé, doublé de l'obligation de travailler et se contaminer durant l'épidémie, et aussi d'être frappé par le chômage résultant.
Les soupes populaires ont explosée à Genève !