Sans liberté, pas de démocratie.
Certains contribuables, de moins en moins nombreux, il est vrai, et pour des raisons connues, travailleraient volontiers un peu plus. Il y a même des qui prennent leur pied au boulot. Ceux qui s’ennuieraient à la maison, par exemple, trop seuls ou en manque d’imagination pour se trouver un passe-temps agréable. Ceux qui se tournent les pouces au bureau en attente du salaire mensuel trop riquiqui.
Pas ceux aux métiers à gestes répétitifs et postures douloureuses : éboueurs, ouvriers, aides-soignants, cuisiniers, facteurs, chauffeurs de bus, de tram, de poids-lourds, personnel d’entretien, opérateurs téléphoniques. Pas les gardiens de prison, les puériculteurs et les puéricultrices, une bonne partie des enseignants payés au lance-pierre, les pompiers, les ambulanciers, les gendarmes et même – avec toutes mes réserves – certains policiers. La liste est loin d’être exhaustive.
Liberté des choix.
Pourquoi IL n’en veut pas ?
Parce que ça prend du temps. Parce que les caisses de l’État, un état en faillite, sons vides, pardi ! Faut les alimenter donc au plus vite, quitte à restaurer les Galères.
Et surtout parce qu’Il est arrogant et imbu de sa personne.
Chassez-moi ce Macron que je ne saurais voir !