Le cinéma, c’est maintenant sur Mediapart
- 15 mars 2020
- Par Sophie Dufau
- Blog : Sophie Dufau
Ces films vous sont proposés grâce à nos partenariats : Tënk (la plateforme du documentaire d’auteur), Images en Bibliothèques (qui coordonne notamment la Cinémathèque du documentaire), le festival Cinéma du réel et quelques réalisateurs indépendants:
J’suis pas malheureuse, une chronique au féminin de la jeunesse de banlieue, réalisée par Laïs Decaster en 2018
Treize films du «Cinéma du réel». En association avec le festival international Cinéma du réel – dont la 42e édition a été annulée vendredi – voici quand-même treize films (en intégralité) de la sélection Première fenêtre consacrée aux premières œuvres de jeunes auteurs. Et sur cette page spéciale vous pouvez désigner votre favori.

Objectif Hirak: la révolution dans les yeux de cinq photographes algériens. Un documentaire réalisé en Algérie par Redha Menassel (des Hauts Parleurs).
A Syrian Love Story. Au travers l’exil d’une famille de Syriens, tout ce que détruit la guerre, par le réalisateur britannique Sean McAllister
La liberté nous aime encore. Témoignages pour que cessent les guerres, un film réalisé par Sarah Franco-Ferrer.
Radar, la machine à cash. L’enquête de Stéphanie Fontaine, Lizzie Treu, Jacques Duplessy et Antoine Champagne révèle les coulisses d'un business juteux.
La Ronde. Au Japon, un policier seul face à la détresse Un documentaire réalisé en 2018 par Blaise Perrin
Cinq courts métrages iraniens
en partenariat avec le festival Cinéma(s) d'Iran
- Comme un gentil garçon avec sa baby-sitter. Un superbe renversement de situation réalisé par Arian Vazirdaftari
- Accroche-cœurs. Dans le huis clos d’un salon de coiffure, des femmes et leur sexualité. Par la réalisatrice Shahrzad Dadgar
- Les Coqs et une femme, d’Amir Reza Jalalian
- Hedieh, une jeune lycéenne a disparu, de la réalisatrice Sahar Sotoodeh.
- La Révolte, l’instant où la vie d'une villageoise bascule. Par Koorosh Asgari
Notre série «Media : les quartiers vous regardent»
réalisés par Les collectifs La Friche et ŒIL
À l’origine, des phrases que les journalistes des collectifs La Friche et ŒIL ont entendues : « Les journalistes, c’est des gros DJ, ils remixent tout ! » ; « Les journalistes viennent ici, nous parlent, et après, on ne les revoit plus jamais » comme autant de symptômes d’une rancœur accumulée par des citoyen.ne.s qui se sentent dévalué.e.s, dans la presse, en raison de leur simple appartenance à un territoire.
- Clichy-sous-Bois, la rupture
- Marseille, l’alternative
- Grenoble, la réplique
- Beaumont-sur-Oise, le rapport de force
- Amiens-Nord, le fossé
Notre podcast «Un micro au tribunal»
par Pascale Pascariello

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