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13-Novembre : Patrick Jardin, sa « haine », notre part d’ombre
La salle d'audience du procès des attentats du 13-Novembre. © © Photomontage Sébastien Calvet / Mediapart
Au procès des attentats du 13-Novembre, le père d’une victime tuée au Bataclan qui clame sa haine depuis six ans l’a déversée à l’encontre des accusés, des gouvernants mais aussi d’autres victimes. À rebours de la tonalité des autres témoignages.
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Christophe Naudin : « Est-ce qu’on a tous le même sentiment vis-à-vis des accusés et du djihadisme ? Évidemment, non »
Christophe Naudin à Paris, en juin 2021. © Photo Sébastien Calvet / Mediapart
Durant le procès, sept victimes des attentats écrivent et décrivent leurs sentiments. Christophe Naudin, rescapé du Bataclan, dresse un premier bilan des cinq semaines consacrées aux témoignages des victimes.
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13-Novembre : « Cinq minutes pour revoir une dernière fois son fils »
Des victimes de l’attentat du Bataclan prises en charge par les secours, le 13 novembre 2015 et la salle du procès. © Photomontage Sébastien Calvet /Mediapart avec Photo Miguel Medina / AFP
Les proches des victimes décédées lors de l’attaque des terrasses, notamment au café La Belle Équipe, ont évoqué, mardi, les difficultés rencontrées lors de l’identification de leurs proches.
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Georges Salines : « J’espère que la graine que j’ai semée ne restera pas stérile »
Georges Salines, à Paris, en juin 2021. © Photo Sébastien Calvet / Mediapart
Pendant toute la durée du procès, sept victimes des attentats décrivent leurs sentiments. Aujourd’hui, Georges Salines, père de Lola, une victime du Bataclan, livre son témoignage, d’une humanité rare, à la barre de la cour d’assises spéciale.
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13-Novembre : « Mais on est vivants, on est vivants ! »
La salle d'audience du procès des attentats du 13 novembre 2015 à Paris. © Photo Sébastien Calvet / Mediapart
Six des onze personnes prises en otages par les terroristes au Bataclan ont témoigné, mardi, devant la cour d’assises spéciale. Elles ont détaillé l’assaut mené par la BRI.
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13-Novembre : « On décrit l’horreur et au milieu se glisse l’amour »
© Photo Sébastien Calvet / Mediapart
Aurélie, la compagne de Matthieu, un jeune universitaire tué lors de l’attaque du Bataclan, redoutait de participer au procès. Elle a expliqué à la cour d’assises « l’humanité » qu’elle y a découvert.
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Salah Abdeslam : « J’ai laissé toute profession pour devenir combattant de l’État islamique »
© Photo-Illustration Sébastien Calvet avec Kenzo Tribouillard / AFP
Dès les premières minutes du procès, Salah Abdeslam a revendiqué son appartenance à l’organisation terroriste ayant planifié les attentats du 13-Novembre. Contrairement aux autres accusés qui ont fait profil bas, l’unique survivant du commando ayant tué 131 personnes a fait dans la surenchère.
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Au procès des attentats du 13-Novembre, un président au-dessus des débats
© Photos Sébastien Calvet / Mediapart
Alors que l’accusé Salah Abdeslam multiplie les provocations depuis le début du procès, le président de la cour d’assises, Jean-Louis Périès, tantôt avec fermeté, tantôt avec humour, cantonne ses débordements. Une police de l’audience qui tranche avec celle du procès des attentats de janvier 2015.
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Procès du 13-Novembre : « L’attaque était ciblée et concentrée sur la terrasse »
La police judiciaire recherche des preuves à l'extérieur du café “La Belle Équipe”, rue de Charonne, dans la nuit du 13 au 14 novembre 2015 à Paris, et la salle d'audience du procès des attentats du 13 novembre 2015 à Paris. © Photomontage Sébastien Calvet / Mediapart avec Jacques Demarthon / AFP
La Cour d’assises spéciale a visionné des images de l’attaque, le 13 novembre 2015, du café La Belle Équipe, rue de Charonne, puis la vidéosurveillance montrant l’entrée et l’explosion de la ceinture du kamikaze Brahim Abdeslam au Comptoir Voltaire.
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Au procès des attentats du 13-Novembre, les « héros » du Bataclan sur la défensive
Christophe Molmy, le patron de la BRI, et des policiers de la BAC en train d'intervenir au Bataclan. © Photo montage Sébastien Calvet / Mediapart montage Sébastien Calvet / Mediapart avec Steven Wassenaar / Hans Lucas via AFP
Rongé par la culpabilité alors qu’il a sauvé des dizaines de vie, un commissaire de la BAC-N et l’ex-patron de la BRI, excédé par les polémiques qui ont visé son unité, ont témoigné sous le regard des victimes du Bataclan venues leur apporter leur soutien.
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