- 0 billet
- 0 édition
- 0 article d'éditions
- 0 portfolio
- 0 lien
- 0 événement
- 161 favoris
- 2 contacts
Ses favoris
-
La présidence Macron sous enquêtes
Emmanuel Macron avait promis la République exemplaire, ça ne s’est pas exactement passé ainsi. Retour sur un quinquennat marqué par les affaires avec nos journalistes Fabrice Arfi, Ellen Salvi, Antton Rouget.
-
- Présidentielle 2022. Roussel, Poutou, Arthaud... des gauches à la recherche de leur électorat
- Enquête
À l’Assemblée, un assistant parlementaire fantôme nommé Fabien Roussel
Fabien Roussel lors d’une réunion publique contre la réforme des retraites à Saint-Denis, le 11 décembre 2019. © Photo Sébastien Calvet / Mediapart
De 2009 à 2014, le dirigeant communiste a été rémunéré pour un temps plein par un député du Nord. Or le collaborateur ne travaillait pas à la permanence et des anciens collègues ne savent pas dire ce qu’il faisait. Malgré plusieurs relances, Fabien Roussel ne nous a fourni aucune preuve de son travail : ni document, ni mail, ni SMS…
-
Un an après la mort de Guillaume, le PCF accusé d’inaction
Au rassemblement pour Guillaume, dimanche 13 février 2022, à Paris. © Clément Pouré / Mediapart
Il y a un an, quelques jours après avoir accusé deux communistes parisiens de violences sexuelles, un jeune étudiant, Guillaume, se suicidait. Depuis, les mis en cause sont « en retrait » du PCF. Mais les proches du disparu dénoncent des mesures insuffisantes.
-
Un vrai-faux colloque à la Sorbonne pour mener le procès du « wokisme »
Vendredi 7 et samedi 8 janvier s’est tenu à la Sorbonne un colloque éloigné des canons du genre, mais patronné par d’illustres visiteurs, dont le ministre de l’éducation nationale, qui a par ailleurs aidé à financer l’événement. « Épidémie de transgenres », « soleil noir des minorités » : les formules ont fleuri pour qualifier la manière dont le décolonialisme et les études intersectionnelles martyriseraient l’université française.
-
Grève à l’école : « Nous sommes au point de rupture »
Dans la manifestation des personnels de l’éducation nationale à Paris, le 13 janvier 2022. © Photo Sébastien Calvet/Mediapart
Des dizaines de milliers de personnes dans les rues, une forte proportion de grévistes, et une mobilisation qualifiée d’« historique » par ses organisateurs. Jeudi, les personnels des écoles, collèges et lycées ont exprimé leur « ras-le-bol » de Jean-Michel Blanquer.
-
Du temps que la gauche pensait l’Éducation nationale
Lionel Jospin, ministre de l'Éducation nationale dans une école primaire à Paris, le 6 septembre 1988. © Photo Pierre Guillaud/AFP
Le ministre qui incarne le plus intensément la régression démocratique imposée par Emmanuel Macron a pour nom Jean-Michel Blanquer. Pour mesurer l’ornière ainsi creusée, retour sur un temps révolu : quand la gauche défrichait en matière d’éducation.
-
Grève à l’école : pour les gauches, un rendez-vous à ne pas manquer
© Sebastien Calvet
Avec ce premier mouvement social d’ampleur depuis le début du Covid, la gauche a enfin une chance de voir mise au centre du jeu une thématique qu'elle affectionne. Et à moins de trois mois du premier tour de la présidentielle, de tenter de mobiliser son électorat historique.
-
De Zemmour à Blanquer, la naphtaline en guise de pensée scolaire
Jean-Michel Blanquer et Éric Zemmour. © Sébastien Calvet
Raillé pour ses accents rétrogrades, le programme d’Éric Zemmour sur l’école fait pourtant écho aux slogans réactionnaires brandis depuis cinq ans par Jean-Michel Blanquer. L’école mérite mieux que ces plats rances, inlassablement resservis depuis des décennies.
-
À gauche, tous les chemins mènent à la hausse des salaires
Photo-illustration. © Sébastien Calvet / Mediapart
Après des années de silence à gauche, la hausse des salaires revient en grâce et suscite un consensus quasi parfait. C’est moins le cas d’une réduction du temps de travail, que certains n’hésitent pas à mettre en concurrence avec la « feuille de paie ».
-
Présidentielle : la gauche écologiste n’enchante pas la « génération climat »
Des manifestantes lors de la Marche pour le climat à Paris, le 28 mars 2021. © Photo Thomas Dévényi / Hans Lucas via AFP
À l’approche de l’élection présidentielle en France, la jeunesse engagée sur les questions climatiques depuis 2018 est tentée par les urnes. Mais l’offre électorale dispersée à gauche la laisse sceptique.