Tran Anh Hung : "Je reçois l'amour comme une grâce"
Mission impossible : adapter le best-seller de l'écrivain japonais Haruki Murakami, La Ballade de l'impossible, au cinéma... surtout si on est un cinéaste français d'origine vietnamienne et qu'on tourne au Japon, dans une production japonaise avec des acteurs japonais... Pourtant c'est ce qu'a fait Tran Anh Hung, déployant comme l'écrivain une histoire d'amour et de deuil, de deuil et d'amour, dans toute sa délicatesse, sa majesté et ses douloureuses profondeurs. Et la langue japonaise qu'il ne maîtrise pas ? "C'est le cinéma qui est un monde et un langage", explique le réalisateur de L'Odeur de la papaye verte et de Cyclo. Entretien : Laurent CarpentierImage et montage : Pierre Crézé
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Mission impossible : adapter le best-seller de l'écrivain japonais Haruki Murakami, La Ballade de l'impossible, au cinéma... surtout si on est un cinéaste français d'origine vietnamienne et qu'on tourne au Japon, dans une production japonaise avec des acteurs japonais... Pourtant c'est ce qu'a fait Tran Anh Hung, déployant comme l'écrivain une histoire d'amour et de deuil, de deuil et d'amour, dans toute sa délicatesse, sa majesté et ses douloureuses profondeurs. Et la langue japonaise qu'il ne maîtrise pas ? "C'est le cinéma qui est un monde et un langage", explique le réalisateur de L'Odeur de la papaye verte et de Cyclo.