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UniversCiné

  • Paul Lacoste : La Naissance d'un chef

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    Paul Lacoste filme le passage de relais entre un père et son fils, les Bras, chefs cuisiniers virtuoses de l'Aveyron, et inventeurs du désormais légendaire Gargouillou. Entre les Bras sort cette semaine dans les salles.
  • Joachim Trier : "Le cinéma est à réinventer"

    Par | 4 recommandés
    L'auteur de Nouvelle donne (2006) revient cette semaine en salles avec Oslo, 31 août. Joachim Trier adapte à la capitale norvégienne Le Feu-follet de Drieu La Rochelle (dont s'était déjà inspiré Louis Malle en 1963 pour son film du même nom)...
  • Guy Maddin fait tourner les tables et les acteurs du vieux continent

    Par | 1 recommandé
    Le cinéaste mélancolique made in Winnipeg (Canada), est l'invité du Centre Pomidou pendant dix-sept jours, le temps de tourner dix-sept films. Après avoir réécrit une centaine de scénarios maudits (signés Stroheim, Vigo, Hitchcock...), le voilà parti pour les tourner les uns après les autres, à Paris, New-York et Winnipeg, donc. Ce jour là, Charlotte Rampling, André Wilms, Jacques Bonnafé et Udo Kier faisaient partie du casting... Sylvie Pras, responsable du cinéma au Centre, nous fait visiter l'installation.
  • Stan Neumann et l'homme au téléscope

    Par | 4 commentaires | 7 recommandés
    Le documentariste, créateur avec Richard Copans de la série Architectures, présente cette semaine son premier long-métrage de fiction. Inspiré de 10 nuits de la vie de Jean Kepler, "L'OEil de l'astronome" est un un film-expérience tout en contraste et en densité. Stan Neumann explique sa volonté de plonger le spectateur dans la nuit où vivait l'Europe de 1610.
  • Miguel Gomes : Eloge de l'incontrôlé

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    Injustement ? Miguel Gomes n'a reçu hier à Berlin que le Prix de l'innovation pour son troisième long-métrage Tabu, plus beau film du festival pour certains. Nous avions rencontré le réalisateur à la sortie de Ce cher mois d'août, film touffu comme l'Arganil où il se déroule, sorte d'Ardèche portugaise où l'été, les bals populaires infusent la saudade au coeur des jeunes gens.
  • Dominique Maillet replonge dans la mémoire de l'Espagne

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    La semaine le où juge Baltasar Garzon est mis hors d'état de nuire par la justice de son pays, Dominique Maillet replonge dans la mémoire de l'Espagne des années noires avec le deuxième volet de sa trilogie sur l'Identité, sorti cette semaine en salles sous le titre définitif de La Mémoire dans la chair. Nous l'avions rencontré il y a trois ans, alors que le film s'appelait Tierra(s) de sangre. Présentation par le cinéaste d'un film déconcertant.
  • François Schuiten : "Je cherche à inventer des signes"

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    Co-auteur avec  Benoît Peeters des Cités Obscures, François Schuiten est moins connu pour avoir inventé les univers visuels de Toto le héros, Mr Nobody ou encore... Gwendoline. Invité du festival Travelling Bruxelles à Rennes jusqu'au 14 février, c'est en cinéphile praticien qu'il évoque ici les différences entre bande-dessinée et cinéma.
  • Chantal Akerman : "Quand on colle à un texte, on fait un mauvais film"

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    Chantal Akerman revient sur La Folie Almeyer (à voir en salles depuis le 1er février), adaptation très libre de Conrad et occasion pour la réalisatrice de filmer - enfin - la nature dans une fiction. Elle analyse la complexe relation qui lie dans son film un père possessif à sa fille éprise de liberté.
  • Ezra Miller : Smells Like Teen Spirit

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    Venu à Paris présenter Another Happy Day (en salles depuis le 1er février), Ezra Miller, qui fit ses premiers pas au cinéma avec Afterschool en 2007 (à voir sur UniversCiné) et effraya tout Cannes en 2011 avec son sourire de démon (We Need To Talk About Kevin de Lynne Ramsay), revient sur sa courte mais prometteuse carrière, son métier et Tilda Swinton.
  • Theo Angelopoulos: «Deux ou trois choses que je sais du XXè siècle...»

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    Disparu brutalement le 25 janvier 2012, suite à un accident, Theo Angelopoulos était le seul réalisateur grec à représenter tout un pan du cinéma de son pays : pratiquement 50 ans d'histoire et d'audace cinématographique, alliant le combat politique (Le Voyage des comédiens), l'héritage poétique (Le Regard d'Ulysse, L'Eternité et un jour...) et la révolution esthétique (Les Chasseurs).