- 42 billets
- 0 édition
- 0 article d'éditions
- 0 portfolio
- 1 lien
- 0 événement
- 151 favoris
- 27 contacts
Ses favoris
-
Édition Eurojournalist(e)
Mourir en Méditerranée? Pas de problème…
Voilà le résultat du "vote de la honte"... © (c) Sven Giegold (MEP)
Entre les débats concernant le Brexit ou une possible adhésion de l'Albanie et de la Macédoine du Nord, un vote au Parlement Européen a failli passer inaperçu. -
Lobbying: le cas Oettinger met au défi les nouvelles règles en vigueur à Bruxelles
Günther Oettinger le 27 février 2019 à Bruxelles © François Lenoir / Reuters.
Alors qu’il ne quittera la commission européenne qu’en novembre, l’Allemand Günther Oettinger, en charge du budget dans l’exécutif européen, a déjà déposé les statuts de sa future société de lobbying. Jean-Claude Juncker a sollicité l’avis d’un comité d’éthique interne.
-
Un régulateur bancaire européen prend la direction d’un lobby financier
Adam Farkas, numéro deux de l'autorité de régulation bancaire, sur le départ. © DR
La finance semble manifestement étrangère à toute notion de conflit d’intérêts. Après l’arrivée d’un lobbyiste à la tête de l’autorité de régulation bancaire européenne, le numéro deux de cette même autorité de régulation part pour prendre la direction d’un des plus puissants lobbies financiers. La capture des institutions continue.
-
Un pouvoir incendiaire
Emmanuel Macron à Souillac (Lot), devant 600 maires, le 18 janvier 2019. © Reuters
La fable de l’attaque de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière par des manifestants lors du 1er Mai est le mensonge de trop d’un pouvoir qui nie la réalité de son impopularité. Sa dérive autoritaire le rend complice du pire : la ruine de toute éthique démocratique.
-
Aux sources de la régression française: l’affaire Renaud Camus
L’écrivain Renaud Camus est le théoricien du « grand remplacement », idéologie raciste qui appelle à l’expulsion du peuple (et donc du territoire) français des éléments supposés étrangers, à raison de leur origine (immigrée), de leur croyance (musulmane), de leur apparence (arabe, maghrébine). La scène inaugurale de cette radicalisation s’est jouée il y a quinze ans, avec la parution de La Campagne de France (Fayard, 2000), réquisitoire contre « l’idéologie dominante antiraciste ».
-
Immigration contre salaires: une vision partielle et biaisée
En fin d'après-midi, une trentaine de migrants remontent des rochers, entourés par de jeunes militants italiens. © LF
Une partie de la gauche se prévaut du marxisme et de la loi de l’offre et de la demande pour défendre des positions restrictives sur l’immigration. Mais ce positionnement ne semble pas répondre au défi de l’ordre néolibéral.
-
La Grèce sort du plan de sauvetage mais garde sa dette
Après des années d’austérité, la Grèce sort officiellement ce lundi de son troisième et dernier plan de renflouement, avec l’espoir de pouvoir de nouveau se financer sur les marchés. Mais la question de la dette, qui atteint désormais 180 % du PIB, reste entière.
-
Italie 2018 vs Grèce 2015: deux façons opposées d’aborder la question migratoire
Manifestation à Rome contre la politique migratoire de Salvini, le 18 juillet. © Reuters
Dans une Italie bien moins exposée aux arrivées d'exilés que par le passé, le ministre de l'intérieur Matteo Salvini se répand en propos xénophobes tandis que les attaques racistes se multiplient. Rien à voir avec la Grèce de l’été 2015 qui, asphyxiée financièrement, avait généreusement accueilli les personnes qui débarquaient chaque jour par milliers.
-
Bella Ciao. A la difficile recherche du peuple italien
Deuxième épisode de notre plongée dans la longue histoire de l'air italien le plus connu au monde, à l'heure où l'extrême droite est de retour au pouvoir à Rome. Où l'on découvre que l'on se persuada dans les années 1960 que Bella Ciao était chanté par les paysannes des rizières de la plaine du Pô.
-
Prison, torture, travail forcé: les réfugiés du «Lifeline» racontent l’enfer libyen
Des migrants en Méditerranée à bord du «Lifeline», navire d'une ONG allemande battant pavillon néerlandais. © Reuters
Sept réfugiés du Lifeline, accueillis en France depuis le 5 juillet, racontent à Mediapart leur vécu en Libye, où la plupart ont passé des mois entre les mains de trafiquants de chair humaine ou des centres de détention du régime. « Là-bas, tu es une marchandise : on t’achète, on te revend... »