Sans vouloir empiéter sur le domaine critique d'Emmanuel Burdeau,dont l'avis est pertinent,on peut d'ores et déjà dire que le 63e festival de Cannes vient de nous présenter le miroir d'un monde souffrant, accablé sinon inquiet.
Voici un homme qui, depuis un demi-siècle, exerce un magistère sinon une fascination sur l'intelligentzia. Pourquoi? Dans son dictionnaire des réalisateurs (Robert Laffont,coll. Bouquins) Jean Tulard commence la notice qu'il lui consacre par cette double interrogation : "Fossoyeur du cinéma ? Génie novateur ?"
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