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Sarkozy contre la République: un président hors la loi
Chargé du respect d'une Constitution qui «assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine», le président a, par son discours de Grenoble, violé la loi fondamentale et manqué aux devoirs de sa fonction. Cet événement oblige au sursaut le plus large et le plus solennel. Parti pris.
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Pourquoi l'affaire Bettencourt est un révélateur national
L'affaire Bettencourt, devenue l'affaire Woerth et cachant une affaire Sarkozy, est un révélateur de l'état de la France: de ses inégalités et de ses injustices sociales, de ses déséquilibres institutionnels et de ses régressions démocratiques, des abus d'un pouvoir présidentiel sans contrôle. -
L'ex-comptable des Bettencourt accuse: des enveloppes d'argent à Woerth et à Sarkozy
L'ex-comptable relate un épisode – qu'elle a rapporté lundi 5 juillet aux policiers – situé en mars 2007 et mettant en scène Eric Woerth. Ce dernier se serait vu remettre, via le gestionnaire de fortune Patrice de Maistre, 150.000 euros pour la campagne présidentielle de M. Sarkozy.
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Mediapart et le droit d'informer: halte au renoncement!
«Halte au feu!», ont lancé Simone Veil et Michel Rocard, estimant que le débat autour de l'affaire Bettencourt «asservit la démocratie» et «porte un coup à la République». Nos dernières révélations montrent pourtant que l'incendie n'est pas près de s'éteindre. «Halte au renoncement!», leur répond donc Mediapart, estimant que, face à la gravité des faits révélés, leur position témoigne d'une indifférence démocratique et d'un aveuglement social qui affaiblissent la République. -
Karachi: la police luxembourgeoise met en cause Nicolas Sarkozy
Un rapport de la police luxembourgeoise désigne Sarkozy comme l'architecte, en 1994, d'un dispositif occulte utilisé pour le financement illicite de la campagne présidentielle de Balladur. «Une partie des fonds qui sont passés par le Luxembourg reviennent en France pour le financement de campagnes politiques françaises», affirment les policiers.
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Nicolas Sarkozy est rattrapé par l'affaire de Karachi
Dans Le Contrat (Karachi, l'affaire que Sarkozy voudrait oublier), livre à paraître le 19 mai, nos deux collaborateurs Fabrice Arfi et Fabrice Lhomme révèlent le rôle central joué entre 1993 et 1995 par Nicolas Sarkozy dans un marché d'armement sur lequel pèsent de lourds soupçons de corruption et de financement politique occulte. Par des témoignages et des documents inédits, ils prolongent les enquêtes publiées dans Mediapart.
- Nicolas Sarkozy valide le plan de financement du contrat Agosta.
- Il supervise, depuis Bercy, la création d'une société offshore au Luxembourg qui a servi à verser des commissions suspectes.
- Il serait intervenu, six mois avant la présidentielle de 2007, pour que des affaires de corruption ne soient pas rendues publiques.
- L'un des intermédiaires du contrat Agosta, Ziad Takieddine, se vante d'être «l'ami» de Nicolas Sarkozy.
- M. Takieddine assure avoir été l'émissaire de la France dans la libération des infirmières bulgares. Ce que confirme Claude Guéant, le secrétaire général de l'Elysée.
- L'ancien contrôleur général, Jean-Louis Porchier, fait des révélations sur le financement de la campagne présidentielle de 1995 d'Edouard Balladur.
- Charles Pasqua, Charles Millon et Brice Hortefeux parlent.
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Quand l’art rime avec tauromachie…
Au moment où le débat bat son plein pour déclarer la tauromachie au titre de patrimoine de l’humanité, c’est la capitale française du toro qui est au dessus du lot, comme à son habitude. -
La polémique sur le film «Hors la loi»: au pays de l'histoire officielle
Mediapart montre que la campagne lancée contre le film Hors la loi de Rachid Bouchareb, présenté à Cannes, consacré notamment aux émeutes du 8 mai 1945 en Algérie, a reçu l'aval du gouvernement... -
Une honte nationale, le parti pris d'Edwy Plenel
Le succès de l'appel de Mediapart, «Nous ne débattrons pas», n'est pas simplement le refus de cautionner une machine infernale, de division et d'exclusion. Ce sursaut a pour moteur la compréhension qu'avec ce « grand débat surl'identité nationale », se donne à voir la nature profonde du régime. Il faut relire mot à mot les deux discours de Nicolas Sarkozy et de François Fillon. Pour la première fois s'énonce, au sommet de laRépublique, l'idéologie de la droite extrême, celle qui fut au pouvoir avec Philippe Pétain sous Vichy, cette droite à la fois maurrassienne, orléaniste et élitiste qui n'a jamais admis la démocratie libérale. -
Ventes d'armes: la corruption au cœur de la République
Le financement de la campagne présidentielle d'Edouard Balladur, l'attentat de Karachi en 2002, l'aide au clan Pinochet au Chili, l'espionnage de magistrats et d'hommes politiques, l'affaire des frégates de Taiwan... Les juges Françoise Desset et Jean-Christophe Hullin, qui enquêtent sur un dossier de corruption dans le milieu de l'armement français, découvrent de nombreux éléments pouvant déboucher non pas sur une mais plusieurs affaires d'Etat. Déjà apparaissent les noms de plusieurs hommes politiques de haut rang: Nicolas Sarkozy, Brice Hortefeux, Edouard Balladur, Charles Millon... Nos révélations.