Je ne sais pas ; je sais peu.
Les mots lourds et l’air rare.
Sûrement le statut de bâtard…
Qui m’aura aussi sifflé les diplômes…
Je ne sais pas ; j’crois qu’y pleut ;
Mais au bout de la pluie, un drapeau noir ;
Un vrai navire dans la ville-dortoir ;
Un qui me fait pleurer de l’espoir d’un môme.
Je ne sais pas ; j’y foutrais le feu,
À la Ville, à la Roue, même s’il est tard.
Et celui qui joue à bétonner, au mitard.
Les Puy-follets, les Foutriquet, et leur Royaume.
Je ne sais pas ; Zombies en tous lieux,
Comme si la Terre était l’objet de l’Etoile Noire
Et les Élus tous de foutus assoiffés de pouvoir.
Bravo Messieurs, et Bourdieu aura vécu, pour l’arôme.
Je ne sais pas ; disons peut-être eux.
Lisons Abd El Malik, plume civilisée… et notoire.
Contre le Volapük ligneux de notre dieu sans Gloire.
Contre les médias propagandistes aux pages monochromes.
Je ne sais pas ; je crois que je suis anar.