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Billet de blog 10 mai 2014

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Pour le 10 mai, un délire raciste!

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Puisque l'ère du temps est à se "décomplexer" de tout, après la droite sarkozyste, la "gauche" socialiste dont la tête de gondole demeure Valls – faute de concurrents aussi décomplexés –, pourquoi ne pas se lâcher un peu, beaucoup, passionnément voire à la folie ? Cette folie, j'en ai eu un écho lorsque, tout récemment, quelqu'un me racontait la gêne qu'il a ressenti en recueillant les commentaires sortis d'une séance-cinéma d'un film qui – paraît-il – va cartonner. Déchaînant ainsi les passions et libérant des comportement, parole, rire, etc., plus que glaçants. Une seule question s'impose : qu'est-ce qu'on a fait – les noirs – au bon dieu ? Ma contribution :

A la place d'un slogan consensuel et assimilationniste – de la majuscule au point – du type : « Je suis noir et je n'aime pas le manioc », je dis que je suis noir et je n'aime pas le noir con! Et pourquoi pas la banane, pendant qu'on y est, ou les cacahuètes? On dira : voilà encore une fois que deux noirs se foutent dessus! Je réponds que c'est normal, c'est dans leurs gènes. Rwanda, Bangui mes amours! Pour ne citer que ces lieux de fête où on prend un plaisir extasiant à fendre des corps et des crânes à la machette.

La machette qui est pour l'africain ce qu'est le Katana pour le samouraï, ou ce que sont le couteau et la fourchette pour le bourgeois gaulois. Toute une persévérance séculaire pour acquérir une aisance dans l'art de la manipulation. Je dis l'africain, mais il faut exclure le sénégalais (je sais ce que je cause, j'en suis un) qui lui est un vendu, un fayot, un collabo, etc., jusqu'à ce qu'une acception convenue veuille qu'on dise "sénégaulois".

Et j'en veux pour preuve Senghor – le meilleur d'entre nous – le premier africain académicien qui avait, paix à son âme, du sang de "gore". "Gore" qui peut signifier reconnaissance, et d'où est tiré l'adjectif "gorée"; le nom de l'île d'où partait un noir jugé bon nègre. Voilà, la boucle est bouclée ou plutôt, comme diraient les déportés et leurs descendances : nos frères d'antan, lointains des Antilles, échangés contre des miroirs : le boulet était bien bouclé aux chevilles et au reste du corps. Essayez d'imaginer ce qu'un antillais voit quand il se regarde dans un africain! Le miroir est très déformant. Malgré cela, chevilles au corps, l'africain et son cousin – parce que d'un ancêtre commun : le gaulois – en font tout un refoulement… Le mot reconnaissance prend d'un coup tout son sens !

L'emmerdant pour l'africain c'est ses dirigeants ou plutôt ses ( il faut le prononcer en deux temps et avec l'accent ) dirige-gens. Surtout leurs rapports avec les femmes. Ils roulent des mécaniques semblables à celles d'un bonobo puceau en rut. Ce qui les rend d'autant plus machiniques qu'ils font montre d'une perversion banale de leur addiction anale. Faisant des pseudo-mises en branle de telle ou telle de leur qualité ou "indispensabilité"; la seule question qu'ils se posent étant : quant est-ce que je sodomise, et si on me branle avant c'est mieux?

Évidemment d'une "branlette" façon buccale ou façon "Bush". Soit, puisque ce qu'ils en tirent, quand ils se retirent, ce n'est que de la matière fécale qu'ils doivent bien trouver à leurs goûts, puisque l'expression les décrivant le mieux serait : cons à en bouffer de la merde. Et de la merde j'en dis un peu (mais n'en mange pas, c'est une histoire de goûts et de couleurs…), car des cas pareils ne se trouvent pas que chez les noirs. Il y a Bush et son prédécesseur, mais j'ai de quoi faire une petite liste.

De plus, ces bouffons se qualifient de concupiscents. Ils sont d'autant plus cons qu'en pissant ils en foutent partout sans que ne leur ait été bandé les yeux. Peut-être leur dire aussi qu'on ne pisse pas le gland bandé! De cet instant où gland bande, j'invite tous ces africains méprisés par leurs dirigeants, à leur faire subir un "gang bang". Quoi de plus jouissive qu'une tournante pour se venger de décennies d'humiliation et de privation? Ce serait une révolution, que dis-je, un tournant!

Parlant de révolution, j'ai une théorie révolutionnaire à leur décharge! Vu que la formule consacrée à de pareilles gens c'est : ils ont un sexe à la place du cerveau; donc pour être intelligent, il faudrait avoir un cerveau à la place du sexe. Vous imaginez le volume de sexe qu'il faut avoir pour contenir un cerveau? Heureusement que les noirs ont un énorme sexe! On ne peut être éternellement damné, il faut arrêter de charrier cette grande malédiction…

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