Réchauffement climatique: et si le CO2 n'était pas le problème...
Depuis plusieurs décennies, le GIEC nous alerte sur le réchauffement climatique. Chacune de ses nouvelles publications met en corrélation l'augmentation du taux de CO2 dans l'athmosphère et la température terrestre. Evidemment, les lobbies pétroliers n'ont cure de ces démonstrations et continuent leur propagande afin de nourrir davantage leurs actionnaires et de faire bénéficier à notre société d'une énergie peu chère économiquement mais ruineuses pour les générations futures.
Et si le réchauffement climatique n'était pas dû à l'augmentation du taux de CO2?
Certains avancent que l'activité cyclique du soleil pourrait expliquer ces différences de températures... Peut-être.
Mais il est un phénomène dont on parle peu dans les médias. Lorsqu'un parapentiste décide de prendre de l'altitude, il faut qu'il se place sur un courant d'air ascendant, un courant d'air chaud. Il choisira donc une route bitumée, et sera certain de prendre de la hauteur par jour ensoleillé. Le goudron de couleur noire garde la chaleur, contrairement au blanc, qui, lui réfléchit les rayons solaires. Le parapentiste bénéficiera donc d'un courant d'air réchauffé par le goudron et prendra de l'altitude. La route bitumée réchauffe l'air qui permet à notre sportif de s'élever dans les airs. Le volume d'air réchauffé est donc proportionnel à la surface bitumée. L'air terrestre est donc chauffé par toutes ces routes goudronnées. Regardons un peu la progression du réseau routier et autoroutier en France ces quarantes dernières années... et ne parlons pas de la Chine qui a construit de multiples voies de circulation durant sa récente industrialisation. Curieux, aucun scientifique ne se penche sur le problème.
Un documentaire diffusé sur arte il y a quelques années décrivait l'expérience menée dans la cordillère des Andes. Les paysans de cette zone montagneuse n'avaient plus d'eau car l'élévation de la température ne permettait pas la formation de glace. Ils ont donc mis de la chaux sur les pierres de couleur sombre du sommet de leur montagne sur la surface de quelques terrains de foot seulement. Et la température se remit à baisser, la glace se reforma, et les villageois eurent à nouveau de l'eau. La chaux déposée sur le sommet a permis la réflexion des rayons du soleil avec pour conséquence la baisse des températures. La couleur blanche a renvoyé la chaleur. On imagine donc l'influence de la diminution de la banquise polaire...
Les scientifiques incluent-ils cette données dans leurs travaux? Suffirait-il de blanchir nos routes pour enrayer le réchauffement climatique? Suffirait-il d'éclaircir quelque peu nos montagnes afin d'éviter les catastrophes annoncées?