Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
(Edition du 10/02/2010, pour ravalement de façade... le printemps est proche, soyons guillerets)
LE choix de 2012
(titre initial, mais néanmoins peu guilleret)
En guise de délibération citoyenne, Les spéculations courent et ruissellent vers 2012. Le parti des bookmakers a le vent en poupe. C’est le spectacle des spectateurs qui jouent la comédie qu’ils applaudissent. Ou la mise en abyme de la République. C’est la République des cyniques (au sens contemporain). Et pendant ce temps, le monde va, Divaguant, Aux mains des opportunistes. Sans boussole. Sur l’agora, ouverte aux quatre vents, nous ne nous sommes pas choisis, Ce pourrait être notre force. Il ne tient qu’à nous. C’est peut-être une question de dignité ? Ou de fragilité ? Ou de peur ? Mais comme une matrice, Le refuge du temple aux idoles nous tient chaud. Et nous y fuyons. C’est comme un enfant qui ne voudrait pas grandir. C’est comme un grand qui ne veut pas naître. C’est comme une promesse refusée.
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