J'envisage de porter plainte contre les gendarmes ( Colonel, Lieutenante-Colonel, chef de brigade et adjudants de BR et TIC ) en citant leurs noms, pour "Entraves à la recherche de la vérité dans une enquête criminelle".
J'ai remarqué que :
- le chef de brigade de Fronton a été mis en maladie longue durée suite à tentative de suicide liée à l'enquête ( dixit sa femme) .
- Le Colonel Pascal Ségura a été muté en "zone protégée" ( diplomatie = son adresse mail est @diplomatie.gouv.fr ).
- La lieutenant-Colonel Bettina Boughani a été aussi mutée à l'ONU à New-York ( diplomatie ). .. or les diplomates sont protégés !!!
- Un TIC est parti en retraite à 52 ans .. celui qui triché sur le bras, le linge noué autour du thorax pas signalé, la polaire prise dans la voiture, la voiture pas mise sous scellé etc.. j'ai une longue liste pour prouver mes accusations.
- L'autre TIC a été muté à l'ile St-Martin
- Un des 2 enquêteurs de BR a été muté à la SR. Il a fait des faux sur téléphonie, CPAM etc.. tableaux excel ald originaux et modifs ( nom du docteur Azary ald Alary, modif d'un chiffre dans n° de téléphone ..etc).
Il ne reste que 2 gendarmes sur 6, un à Toulouse et un à Fronton ( un adjudant de la BR le directeur d'enquête et le chef de brigade de Fronton, le 2ième adjudant qui a remplacé son collègue suicidé comme chef de brigade ..).
Celui de la BR a "égaré" le téléphone de Jean-Eudes lorsqu'il a été demandé pour expertises parla juge d'instruction, le 2ième n'a pas demandé les BS des conduteurs de derniers trains passés entre 11h et midi, juste avant la découverte du corps, lors de l'enquête préliminaire.
ça pue la manipulation gendarmique tout ça ... et la Justice qui protège tout ces flics mafieux.
Hier j'ai entendu que le juge Michel (assassiné à Marseille en 1981 ) avait voulu mettre en examen un Colonel de la caserne de Calvi ( légion ) en Corse pour proxénétisme je crois et qu'on lui avait dit que c'était impossible .. cela peut expliquer pour mon fils la passivité de la justice.
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http://fr.wikipedia.org/wiki/Plainte_avec_constitution_de_partie_civile
La condition de victime
« Toute personne qui se prétend lésée par un crime ou un délit peut en portant plainte se constituer partie civile»
— Article 85 du Code de procédure pénale, alinéa 1er[1]
D'après l'article 85, alinéa premier du code de procédure pénale la condition de victime est assez largement ouverte. Cependant, il n'existe pas de droit à la constitution de partie civile et la loi prévoit la possibilité de contester la constitution de partie civile (art. 87, al. 2 CPP).
La condition de victime physique
« L'action civile en réparation du dommage causé par un crime, un délit ou une contravention appartient à tous ceux qui ont personnellement souffert du dommage directement causé par l'infraction.»
— Article 2, aliné 1er du Code de procédure pénale[2]