M. Jean Gabard, écrivain, (Je n’avais pas indiqué son nom parce que je ne l’avais pas cherché, avais pris l’émission en cours de route, …) demande un Droit de réponse suite au billet sur une émission sur les jupes et les femmes, de France Inter …du 20 août 2012
Monsieur Gabard, Vous avez un DROIT DE REPONSE. Je colle votre texte à la suite de mon mail
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A propos du débat : France Inter « Peut-on encore se mettre en jupe ? » auquel j’ai participé
Les propos des femmes présentes, Najat Vallaud-Belkacem, Christine Bard, Sophie Peloux ont pu laisser penser que pour moi les victimes d’agressions sexistes étaient responsables (il a même été dit « coupables »).
Je reprends donc mes mots.
J’ai dit en parlant de la montée du machisme : « il faut prendre le problème dans sa globalité et comme dans toute relation, les relations hommes/femmes particulièrement, il me semble qu’il n’y a pas un camp qui est 100% coupable et un autre camp qui serait 100% victime.
Il y aurait 50% de responsabilité de chaque côté… »
J’accepte que l’on ne partage pas mon point de vue mais que l’on réagisse en transformant des propos assez évidents pour en faire des propos totalement aberrants, me semble être une preuve d’un grand manque d’attention si ce n’est de mauvaise foi !
La jupe et ses raccourcis ou la montée du sexisme !
Le port de la jupe est en train de devenir le symbole de la lutte contre le machisme.
Nous voici donc réduit à mener des actions spectaculaires pour dénoncer des attitudes masculines qui paraissent d’un autre âge !
Face à de telles sauvageries, il est en effet nécessaire de réagir et de prendre le problème au sérieux.
Il est aussi impératif d’essayer d’abord de comprendre cette recrudescence du machisme pour ne pas traiter que les effets mais aussi les causes.
Celle-ci est-elle liée à la persistance de la domination masculine comme il est facile de le penser ou aux derniers soubresauts d’une masculinité malmenée et en mal d’identité ?
A moins que ce ne soient pas des signes annonciateurs de fin mais plutôt le début d’un dangereux retour en arrière ?
Il est difficile de contester la persistance d’une certaine domination masculine.
Les hommes sont encore les plus nombreux dans les postes de pouvoir qu’ils soient politiques ou économiques.
Il est possible de penser aussi que des millénaires de domination patriarcale ne s’effacent pas en un jour, ni même en cinquante ans, ni même en cinq siècles si l’on fait remonter la remise en cause de celle-ci vers le début des Temps Modernes, vers le XVème siècle.
Il existe encore des bastions conservateurs qui résistent et qui profitent aussi des crises sociales pour rameuter des mécontents de tout bord même si ces derniers n’adhèrent pas à l’idéologie dont ils ne connaissent pas toujours les tenants et les aboutissants.
Les nostalgiques de la société patriarcale sont malgré tout très peu nombreux aujourd’hui et ceux qui semblent l’être sont ceux qui ne l’ont jamais connue et n’ont pas essayé de la connaître.
Qui aujourd’hui, dans les pays occidentaux pourrait accepter le manque de liberté et les injustices des sociétés patriarcales traditionnelles ? Même les plus réactionnaires le prêchent plus qu’ils sont prêts à le vivre.
Ces rebelles ne sont-ils pas comme la majorité de la population des personnes qui préfèrent l’instinct au recul, la proximité à la distance, la spontanéité à la réflexion, le lâcher prise au contrôle, l’imagination à la discipline, la passion à la raison, la sensibilité à la froideur, le plaisir à l’effort, la jeunesse à l’âge adulte…
Ces valeurs que nous préférons aujourd’hui et que nous ne voulons plus objectivement qualifier de féminines sont pourtant, comme par hasard toutes celles qui étaient encore dénigrées il y a une cinquantaine d’année alors que les valeurs qui déplaisent maintenant sont celles autrefois attribuées aux hommes…
Pourquoi d’ailleurs ne pas les rattacher au féminin, même si elles concernent aussi les hommes, dans la mesure où c’est dans le ventre de notre génitrice que nous avons eu l’impression, rétrospectivement, de connaître cette douceur, cette proximité, cette harmonie.
De là naît le manque et donc le désir autrefois interdit. Aujourd’hui il faut le satisfaire et le plaisir est à consommer tout de suite (« paradise now ») et sans modération.
La féminité qui devait être cachée pour ne pas perturber les activités sociales doit aujourd’hui s’exprimer au grand jour.
Alors que les hommes ont imposé pendant des millénaires le masculin, une grande marque peut afficher sur tous les murs « demain sera féminin ». Le présent l’est déjà tellement que personne n’a fait la moindre objection devant ces affiches à ce qui aurait été considéré comme une provocation sexiste si « masculin » avait remplacé « féminin ».
Mais nous sommes fascinés par le féminin et maintenant la pensée dominante nous encourage à l’être davantage et à le manifester.
L’idéologie dominante ne donne jamais l’impression d’être une idéologie, ni d’être dominante : nous y adhérons sans nous en rendre compte ; C’est ce que nous faisons avec la vision du monde féministe devenue une idéologie et dont les militants ont parfois des difficultés à concevoir qu’ils puissent dériver.
Ce renversement de l’idéologie ne serait qu’un juste retour de balancier s’il n’avait des conséquences terribles dans l’éducation des enfants. Nos enfants sont en effet éduqués dans ces valeurs.
Ils passent la plupart de leur jeunesse dans les bras de femmes « libérées » et qui ne peuvent pas être soupçonnées de leur inculquer des idées machistes.
Ayant dans la famille l’autorité parentale elles ne jugent plus utile d’appeler un père pour dire la loi.
Cette fonction symbolique dans les mains des mâles dominants, plus soucieux d’imposer leur dictature que d’éduquer vraiment, a été totalement discréditée.
Les hommes, pourtant de plus en plus présents et remplissant beaucoup mieux qu’avant leur rôle de papa ne peuvent entrer dans cette fonction symbolique (souvent méconnue des nouvelles générations de parents) même quand il peut leur arriver de le souhaiter.
La maman qui n’entre pas dans la fonction symbolique de mère et qui ne donne pas la parole à un homme pour qu’il dise la loi, reste en effet pour le petit enfant une divinité toute-puissante, sans manque, qui fascine.
La parole du papa n’est alors pas écoutée comme une parole méritant de l’être et il ne lui reste plus que le rôle affectif quand ce n’est pas celui de simple subalterne de la maman.
L’autorité paternelle ne devient pas, en fait, « une autorité parentale » mais « une autorité pas rentable ».
Cette maman même moderne n’est pas dans une position où elle peut avoir de l’autorité même si elle peut en faire preuve.
Elle reste en effet perçue sans limite et n’est donc pas en mesure de les faire intégrer.
Quand elle croit limiter l’enfant, celui-ci ne pense qu’à l’imiter, à rester comme il pense qu’elle est : dans la toute-puissance !
Si la maman acceptait de jouer le jeu en faisant appel à un homme, elle montrerait à l’enfant qu’elle manque puisqu’elle a besoin de quelqu’un et que l’homme à qui elle s’adresse mérite d’être écouté.
Si l’homme acceptait de jouer le jeu et qu’il acceptait de dire la loi, sérieusement mais sans se prendre au sérieux, il permettrait au moins au petit garçon (qui a déjà subi une première limite, la castration psychique primaire en apprenant qu’il n’était pas du même sexe que sa référence), d’avoir une chance de l’accepter et de l’intégrer.
Aujourd’hui nous sommes dans une idéologie égalitariste qui n’assume plus la différence.
Quand elle croit en voir une, confondant la différence des sexes (qui existe quelque soit la culture) et la mauvaise utilisation qui en a été faite par les hommes pendant des milliers d’années, c’est pour la dénoncer comme une invention des hommes et une injustice.
Ce postulat idéologique qui nous a imprégné aboutit, certes, à la lutte contre les discriminations (et il y en a besoin) mais aussi au non respect de la différence, non respect qui est lui-même à la source du racisme et du sexisme.
Celui qui ne correspond pas à l’unité choisi ne peut-être qu’un attardé, un malade (la femme était inférieure pour le sexisme masculin).
Pour aller vers « la guérison de l’homme malade » comme le préconise Elisabeth Badinter il suffit qu’il « se laisse envahir par sa féminité ».
S’il refuse de se soigner il devient un réfractaire au progrès et il est rendu responsable de son exclusion.
Cette « théorie du genre » ne permet pas non plus aujourd’hui qu’un jeu différent (assimilé aux rôles traditionnels sexistes) puisse se jouer entre un père et une mère et la conséquence est visible chez les enfants.
Ils restent hors la loi, dans le sens premier du terme.
Ils peuvent éventuellement obéir quand ils ont peur de perdre la maman mais ne font que céder à ce qui ressemble pour eux à un chantage affectif.
Quand l’adolescent en grandissant se détache de sa maman et qu’il a moins la crainte de la perdre, il n’a alors aucune raison de suivre des règles puisque pour lui il n’en a jamais été question.
Ces enfants-rois peuvent devenir des adolescents tyrans incapables de s’adapter à l’école et à la société.
Plus grave encore, les garçons qui n’ont jamais reçu d’image valorisée de l’homme n’ont pas de modèle pour se construire.
Adolescent à l’identité fragile ils sont obligés d’inventer le modèle qu’ils n’ont jamais eu.
Alors qu’ils arrivent à l’âge où il devrait commencer à assumer la castration, ils ont besoin de la refouler en se choisissant des modèles caricaturaux, les plus opposés aux femmes.
Après la première guerre mondiale, les jeunes allemands aux pères humiliés (par la révolution industrielle, par la défaite, par le Diktat, par l’émancipation de leur femme, par leur pouvoir économique rongé par l’inflation, par le chômage …) et dévalorisés ont été fascinés par les nazis.
Des jeunes, aujourd’hui, ont des conduites à risque, choisissent comme modèles, au mieux des « stars » mais malheureusement aussi des héros qui ne brillent pas par leurs exploits sportifs mais par leur violence, leur intégrisme leur extrémisme.
Pour se prouver qu’ils sont des hommes, ils se sentent obligés de s’opposer à l’autre sexe avec vulgarité, de le dominer, de le violenter… et le nationalisme ou la religion leur permet de se distinguer et de justifier leur machisme.
Ces machos du XXIème siècle sont encore plus dangereux que les « traditionnels », tout aussi incapables de sortir de l’enfance mais qui étaient malgré tout cadrés par une société rigide.
Aujourd’hui ces nouveaux barbares sont de plus en plus nombreux et se retrouvent dans tous les milieux.
Ils sont en liberté dans une société qui valorise le « no limite ».
Jean GABARD Auteur de « Le féminisme et ses dérives – Rendre un père à l’enfant-roi », Les Editions de Paris, réédition novembre 2011.
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Quelques remarques ... quoique ayant l’impression de me retrouver devant un texte de littéraire …
Plus les littéraires, les homo dits sapiens (sages !) (h. d. s.) , sont doué(e)s, surdoué(e)s, plus ils/elles arrivent à jouer avec les mots, à les manipuler et finalement s’intoxiquer, croire vrai ce qu’ils/elles ont écrit, à se mordre la queue.
Là où ils/elles semblent se trouver dans un labyrinthe indéfinissable, ils/elles ne font que tourner dans un petit cercle fixe mais en s’enfonçant « toujours plus » à force de repasser sur les mêmes sillons
N’en faites-vous pas partie ? ! Bien sûr que non !
Ma réaction est iconoclaste, stupide ! Pourquoi pas !
L’une des caractéristiques de l’homo dit sapiens (sage !) n’est-elle pas la confusion entre les mots et les choses ? !
*Ils ont réussi à sortir « Liberté, Egalité, Fraternité » Et alors ?
N’a t-il pas fallu attendre une élection de 1945 pour que les femmes puissent voter ?
Chronologie droits des femmes Michèle Vianès
1882 : Les lois Ferry instaurent l’enseignement primaire obligatoire et laïque ouvert aux filles comme aux garçons (gratuit depuis 1881).
1884 : Rétablissement du divorce (Loi Naquet) 1907 : Les femmes mariées peuvent disposer librement de leur salaire
1913 : Congés payés de maternité (4 semaines)
1924 : Les programmes scolaires filles et garçons deviennent identiques
1936 : Alors qu’elles ne sont ni électrices ni éligibles 3 femmes sont nommées sous- secrétaires d’Etat dans le gouvernement de Léon Blum : Cécile Brunswig, Irène Joliot-Curie et Suzanne Laure
1938 : Abrogation de l’incapacité civile et suppression de l’autorité maritale : les femmes peuvent s’inscrire à l’université sans l’autorisation de leur mari. Mais il conserve le droit d’imposer le lieu de résidence et d’interdire à son épouse de travailler !
1944 : Les femmes sont électrices et éligibles dans les mêmes conditions que les hommes
1945 : Notion de salaire féminin supprimé, à travail égal, salaire égal
1946 : Le préambule de la Constitution pose le principe de l’égalité H/F dans tous les domaines
1960 : Les mères célibataires peuvent avoir un livret de famille
1965 : Les femmes peuvent gérer leurs biens propres (ouvrir un compte bancaire) et exercer une activité professionnelle sans le consentement de leur mari
1967 : Loi Neuwirth la contraception est autorisée (remboursée par la sécurité sociale en 1974)
1970 : Suppression de la notion de chef de famille dans le Code civil
1973 : La mère peut, comme le père transmettre sa nationalité à son enfant légitime ou naturel
1975 : Loi Veil sur l’interruption Volontaire de Grossesse (remboursée en 1982) Obligation de mixité dans tous les établissements publics d’enseignement
1979 : Convention des Nations Unies sur l’élimination des discriminations envers les femmes (CEDAW), ratifiée par la France en 1983
1980 : Loi sur le viol 1982 : Statut de conjoint collaborateur pour les artisans et commerçants
1983 : Loi Roudy : égalité professionnelle entre les sexes
1985 : Egalité des époux dans la gestion des biens de la famille et des enfants
1989 : Première campagne nationale contre les violences conjugales
1990 : La Cour de cassation reconnaît le viol entre époux
1992 : Loi contre le harcèlement au travail
1994 : Le nouveau code pénal reconnaît comme circonstances aggravantes les violences commises Par un conjoint ou un concubin
1999 : Révision de la Constitution pour favoriser l’égalité des femmes et des hommes
2000 : Egal accès des hommes et des femmes aux mandats électoraux et aux fonctions électives
2001 : Loi concernant le choix du « patronyme » de son enfant
2003 : Accord cadre relatif à l’amélioration de la place des femmes et des jeunes filles dans les Milieux scientifiques et techniques
2006 : L’âge minimum requis pour le mariage est le même pour les 2 sexes (18 ans) Les circonstances aggravantes en cas de violences s’appliquent également pour l’ex conjoint, concubin ou pacsé.
** Second exemple. Quel est le sens actuel de l’expression « La dignité humaine » ? !
Personnellement, l’assemblage de ces deux mots est merveilleux ! Pour 2 raisons !
(En passant, un autre mot est encore plus un chef-d'oeuvre absolu dans la mesure où il nous décrit globalement avec une exactitude indépassable ... Je vous le laisse deviner !)
~~~ Je ne connais pas un modèle plus court permettant de différencier, sans erreur possible, les h. d. s. et les « hommes vrais »
Connaissez-vous beaucoup de personnes encore en vie et n’acceptant de vivre que dans la « dignité » ? !
C. à d. par ex.,
-n'étant pas décédées suite à une grève de la faim entamée pour obtenir la fermeture des prisons françaises indignes ? !
-Ou n'ayant pas été exécutées par la police ou garde spéciale alors qu’elles protestaient dans un pays où les droits de la Femme n’existent pas ou sont minimaux (Sachant que la dignité ne ressemble pas aux nuages radioactifs venant de Tchernobyl (26 avril 1986) et stoppés à la frontière française puisque démunis de visas !
-Ou ayant au moins quitté leur fonction en guise de protestation suite au mensonge du gouvernement concernant ces nuages ... ? !
~~~~~~ N’étant pas des « hommes vrais » ou ne se conduisant pas de la sorte, la puissance de l’Inconscient ayant été démontrée (Entre autres) par la psychanalyse, il n’est pas possible de rendre responsables des individus inconscients.
Si vous n’aimiez pas Freud, no problem : Luc, XXIII, 34 Et Jésus disait : « Père, pardonnez-leur, car ils ne savent pas ce qu'ils font. »
(Je n’ai pas cherché dans votre texte des traces de croyance parce que peu importe … Mais j’évalue à plus de 50 % votre tendance à croire en une religion. Peut-être que je suis dans l’erreur. Mais de toutes les façons, nous sommes la plupart du temps imprégné(e)s par cette culture religieuse …)
*** S’arrêter là serait encore cacher le principal !
Peut-être suis-je mal renseigné mais je n’ai aucun souvenir de votre montée au créneau lors du scandale de 2005 !
Et en cherchant sur Internet à partir de « Jean Gadard, 2005 », j’ai lu Sur Wikipedia : La misandrie est un sentiment sexiste d'aversion pour les hommes en général, ou une doctrine professant l'infériorité des hommes par rapport aux femmes. Elle peut être ressentie ou professée par des personnes des deux sexes.
De quel scandale, je parle ? !
Je suis persuadé que vous ne voyez pas … !
Et pourtant ! C’est la découverte, la plus importante ou fondamentale du 21ième siècle !
Elle a forcément été enterrée à l’unanimité ! Vous-ai-je mis sur la piste ? !
Dans tous les cas, cela a été pour vous une révélation, une confirmation pour moi !
Notre génome se différencie de celui du chimpanzé d’environ 1 % !
Et ne me dites pas que l’hypothèse de l’homme créé à l’image de Dieu est plus vraisemblable de celle de l’h. d. s. en tant que sorte de « bonobo boosté » … !
Il ya aurait tant à dire, à placer en exergue ! (V. par ex. les conversations, les publicités collant partout un profil féminin attirant, etc. !)
~~~~~~~~~ Expliquez-moi comment un « homme vrai », intelligent, écrivain, peut admettre qu’une telle découverte passe à la trappe parce que trop dérangeante, c. à d. ne pas protester ? !
Dans le même registre, parce que vous déclarez, en plus, voter à gauche, pourquoi avez-vous laissé gagner un M. Sarkozy alors que vous disposiez de tous les moyens pour l’éliminer, voire de le « crucifier » ? !
Vous avez lu Sartre, l’Être et le néant, et sa démonstration rigoureuse à partir du concept « La mauvaise foi » (Terme que vous avez décidé d’utiliser). Peut-on être ici plus clair ? !
Vous avez pris connaissance comme les autres … que M. Sarkozy, quelques semaines avant la date du scrutin et celle du face-à-face avec Me Royal, avait déclaré lors d’un entretien avec M. Onfray (Philosophe à la mode) : « Je n'ai jamais rien entendu d'aussi absurde que la phrase de Socrate : Connais-toi toi-même »
Pourquoi n’avez-vous pas créé un buzz (avant la lettre) ? !
Il vous suffisait de poser une seule question : « Affirmez-vous que le meilleur moyen d’utiliser un nouvel appareil hyper sophistiqué est d’improviser et de ne pas disposer du mode d’emploi » ?
Il aurait été obligé d’expliquer que c’était DIEU qui guidait les humains, qu’il suffisait donc de suivre son instinct et son intuition !
Les Français(es) n’auraient absolument pas accepté son « histoire de bon Dieu » ou « de Père Noël » !
Et donc ne l’auraient pas élu !
VOUS ÊTES-DONC UN DES RESPONSABLES DE L’ECHEC DE LA GAUCHE EN 2007 ! Serait-ce par masochisme ? !
REVENONS A VOTRE TEXTE
« il faut prendre le problème dans sa globalité et comme dans toute relation, les relations hommes/femmes particulièrement, il me semble qu’il n’y a pas un camp qui est 100% coupable et un autre camp qui serait 100% victime. Il y aurait 50% de responsabilité de chaque côté…
» Of course ! Comme dans le monde musulman ! ! ! Les femmes n'ont donc pas à se plaindre ... En plus c'est Dieu qui l'a voulu !
« Il est possible de penser aussi que des millénaires de domination patriarcale ne s’effacent pas en un jour, ni même en cinquante ans, ni même en cinq siècles si … » !
ETC.
« Les nostalgiques de la société patriarcale …
Ces enfants-rois peuvent devenir des adolescents tyrans …
Ces machos du XXIème siècle sont encore plus dangereux …
M. Gabart, Un seul conseil mais inutile !
Lisez les bouquins de Henri Laborit …
En corrigeant les hypothèses de 1970, c. à d. en délocalisant en partie les 3 composantes principales du cerveau (Le cerveau reptilien, le cerveau des émotions, le néocortex), vous obtiendrez peut-être d’autres précisions sur les 3 vecteurs dirigeant les h. d. s.
Et vous ne pourrez nier que la Société de « toujours plus » (t. p.) de consommation repose sur l’exploitation t. p. tous azimuts des manques du cerveau des émotions (nommé encore cerveau limbique ou mammalien puisque présent chez tous les mammifères …).
Ce cerveau est très rapide : il se contente de rechercher le "bien être"ou plaisir (basique) par ANALOGIE, c.à d. en fonction de sa boîte de données ou souvenirs (+ ou - agréables ou désagréables) accumulés durant son vécu ... EN AUCUN CAS IL N'ANALYSE ! (Cette activité est réservée au néocortex ...)
DE QUOI SE CONTENTENT DONC LES H. D. S. qui se meuvent sous l'addiction du t. p. ? !
Ce n’est pas à vous que je vais donner plus de renseignements puisque vous êtes plus que douanier, écrivain de renom…, donc cultivé et plus …
Pour ne pas trop vous louer (Les lecteurs/trices ne me pardonneraient pas), permettez-moi de souligner que des tas de surdoué(e)s ingurgitent des tas de bouquins à toute vitesse, écrivent aussi vite, et que les résultats se font toujours attendre !
Connaissez-vous un(e) intellectuel(le), un(e) philosophe, contemporain(e) qui a remis tout en question, comme Einstein, Planck, de Broglie, Poincaré, Bohr, Heisenberg, Schrödinger, Dirac, etc. ? !
Michel Onfray ? ! Luc Ferry (Même si c’est le seul qui a réussi à provoquer un miracle : celui d’être retraité de l’Université sans jamais y avoir enseigné) ? ! Edgar Morin ? Michel Serres ?
A vous de me dire, de m'éclairer ...
Cordialement.
C'est toujours intéressant de dialoguer avec un humaniste de renom
Je vous signale d’autres articles que vous n’aurez pas le temps de lire ! La Société « Toujours plus » et sa fin programmée (Pour au moins sept motifs !) 27 août 2012 Par Monkeyman... Notre ou nos manières de vivre sont maintenant ridicules et délétères … Le décès de M. Jean-Luc Delarue mobilise tous les médias. Très bien ! Mais ! 25 août 2012 Par Monkeyman Ne personnalise-t-il pas en ce moment l’arbre qui cache la forêt ? .... La rentrée scolaire se profile … un conseil (subjectif) aux professeurs de français et autres disciplines ... ! ! ! 23 août 2012 Par Monkeyman