J’ai suivit avec sens critique le débat Mots croisés de CALVI, hier en soirée sur l’A2.Un débat qui comme à son habitude, n’apporte que le surplus du langage et catéchisme ultralibéral, à savoir les mots :
- coût du travail
- charges patronales
- compétivité
- flexibilité
- et baragouinage libéral, le confessionnal télévisuel.
Joffrin, l’Observateur et ignorant du monde social, a fait son marché de bon point chez les cadors du clan patronal, à sans cesse répéter et renchérir la fracture de cette presse de centre goche, le lénifiant et larmoyant petit valet du capital. Le jour ou celui-ci, tentera de se faire opérer, et de ses vessies et de ses lanternes, il sera taxé à 1000% de sa décharge libérale …Il faut ridiculiser ce gratte papier, et faire appliqué direct 80% de baisse de ses trop de rémunérations. En punition, 2600 heures chez PSA …. À cirer les pompes des expatriés fiscaux de la famille Peugeot !
Parisot, la joueuse de mot, qui n’en vaut pas plus que deux mots, devrait s’enquérir et nous renseigner d’ou ses potes de l’UIMM ont-ils planquer les 600 millions d’euros, avant de venir tenter sa misérable attitude, à pleurer sur le sort de ces patrons mal aimés et néanmoins sur subventionnés !…
Madame Touraine, un conseil ardent d’écouter la CGT, c’est de votre intérêt, à zapper « Chérèque » ce confédéré jaune tomate, le mutant mi-aztèque mi sous fifre et adhérent du catéchisme libéral, le perroquet du surcoût du travail, un pied nickelé pris dans le tapis à la Tapie!
Pécresse, l’UMP châtié, l’UMP puni (mais pas assez, certes), l’universitaire et la fille fille de son papa, la minette blondinette à blabla bla , la gestionnaire et membre du collectif capitalistes et des quelques 650 milliards d’euros de déficit, des 190 milliards de subventions versés à ces copains patrons. La facture qui devrait suffire, à aller se cacher pendant le reste de son temps …
Les aristos de la télé, sont méprisants et auto suffisants, CALVIle premier….ton sckeche à assez duré ...
Le seul à retenir, d’avertir du bon sens de ma classe, chapeau Bernard Thibault…
« On n’est pas des bises nounours » ; sauf en fin soirée, dans les studios de l'A2 !