Les éléctions à MADAGASCAR, Il faut plus que de l'argent, pour ceux qui ont une courte mémoire, les crises malkgaches sont toujours après les éléctions présidentielles, car tout le monde ne veut pas accepter sa défaite à cause de la corruption qui gangrène ce pays.
Aujourd'hui, des problèmes de financements s'imposent, mais certains pays comme les USA ne veulent pas financer une éléction bidon.
Les États-Unis attendent de lui la mise en place de certaines conditions démocratiques avant la tenue des élections et réaffirment les critiques formulées sur la situation actuelle à Madagascar, lisez sa déclaration
Déclaration d'ERIC WONG, Chragé d'affaire des ETATS UNIS à MADAGASCAR:
Nombreux sont ceux qui demandent si les États-Unis vont financer les élections à Madagascar. Avant que nous ne considérions de financer des élections, nous devons voir un véritable retour de la démocratie au pays.
Quand les journalistes et les organes de presse qui les emploient ne feront plus l’objet de menaces d’emprisonnement, la démocratie sera revenu au pays .
Quand le système judiciaire œuvrera pour protéger les droits des citoyens et soutient les lois en vigueur sur le territoire, et non pour persécuter des opposants politiques, la démocratie sera revenu au pays .
la liberté des citoyens de se réunir de manière pacifique pour exprimer leurs opinions .
il reste encore beaucoup à faire avant que Madagascar ne soit prêt pour des élections.
Pour lui, ce travail peut commencer ce jour même, ne nécessite aucun financement de la communauté internationale. Il doit avoir lieu avant que nous ne promettions une quelconque somme.
il faut plus que de l’argent pour organiser des élections.
La démocratie ne se limite pas à une date particulière. Malgré les millions de dollars pour couvrir les conditions techniques des élections, les scrutins ne seront pas réussis si le peuple ne peut pas participer librement avant, pendant, et après le jour de l’élection.
Aux États-Unis, le Président, même s’il représente un parti différent, n’interdira pas à l’opposition de se réunir dans des lieux publics.Il ne fera pas un procès contre ses opposants pour les museler.
Les débats peuvent être aussi sulfureux que jamais, mais aucun parti n’organisera une marche vers la Maison Blanche pour forcer physiquement le Président à quitter son bureau.
C'est qu'à fait RAJOELINA, il s'est dirigé devant la présidence pour évincer RAVALOMANANA
écoutez ce qu'il a dit CHARLES, actuellement à l'île de la REUNION.
Les partenaires techniques et financiers, attendent des améliorations dans plusieurs domaines dans le cadre du retour à l'ordre constitutionnel. À part les aspects techniques liés à l'organisation des scrutins, les chantiers ouverts restent nombreux pour arriver aux consultations populaires de mai 2013, sans parler de la résolution des questions politiques en suspens à sept mois des présidentielles.
Outre la demande d'une course ouverte à la magistrature suprême, les États-Unis énoncent des préalables à une élection démocratique.