Pierro Juillot

Technicien dessinateur/ Chômeur. Dit aussi Pierro Sanslalune.

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Billet de blog 5 novembre 2013

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"Tout peut changer" : Pouvoirs VS vouloir.

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"J'espère que vous en avez eu en tout cas pour votre redevance ce soir...?..."(à 1 heure, 58 minutes et environ 20 secondes)..., fut une des phrases conclusives de l'émission d'hier diffusée sur une chaîne..., vous aurez devinez..., du service public...! Cette émission s’intitulait "Tout peut changer", sur F3, et nous a livré un pamphlet de poncifs poussifs..., en matière de fiscalité..., des plus ahurissants...! C'est vrai que pour une foi.., deux heures furent entièrement consacrées à expliquer ce qu'est l'impôt direct et indirect, soit les taxes pour les secondes..., tant sur un plan historique en introduction (référence à la révoltion de 1789...)..., que son évolution dans le temps jusqu'à ce qu'il est aujourd'hui, dans le contexte de tensions sociales cristallisées par et le soit-disant "ras le bol fiscal", et de la soit-disant "révolte pour l'emploi" bretonne. Puis nous fut donner à ingurgiter, en comparaison au notre, un modèle économique et social, celui du Danemark qualifié d’État providence, ou tous et toutes, dans ce qui fut donné à voir et entendre en tout cas, sont consentants-es et "contents-es" de payer plus d'impôt... Sans chauvinisme bien sûr. A la fin de cette émission, le temps de la digérer, une impression d'insatisfaction, d'incohérence, avec un arrière goût répugnant de fausseté intellectuelle pèse nettement sur l'estomac qu'est cet ensemble complexe de connexions axonales vous et nous permettant de traiter toutes les données que nous dûmes avaler. Et de force puisque comme trop souvent le choix était un plat unique... Quant aux débats animés par des invités - tous et toutes issus-es du privé, pour parler des services publics...? - nous eûmes droit..., avec le devoir de ne pas régurgiter..., à une soupe sur la fiscalité pédagogiquement digestive dirons certains-es des intervenants-es, démagogiquement aigre et malodorante de malhonnêteté répondrais-je avec d'autres.

Autour d'un plateau animé par Laurent Bazin furent réunis-es les invités-es suivant...:  Juliette Méadel / avocate d'affaires et docteur en droit,(qui fut la seule a essayer de défendre les services publiques, et l'utilité des impôts et taxes),  Michel Godet / économiste Manon, Sieraczek-Laporte / avocate fiscaliste, François Lenglet / économiste... Avec ce panel de personnalité en parti légitime et qualifiée pour nous livrer leur pensée concernant ce sujet qui fait polémique actuellement, celui de la somme des impôts, certaines hausses, certains avantages, dits aussi niches fiscales (sémantique usitée certainement pour adoucir, neutraliser voir inverser la honte de l'injustice qu'une partie d'elles portent), leurs inégalités inhérentes et croissantes, leurs utilités et leurs devoirs re-distributifs (trop généreux pour certains-es), on aurait pu s'attendre à ce qu'il est une forme d'équité dans la représentativité des idéologies politiques qui nous furent vomies... Par exemple, ce qui donne encore ces aigreurs manifestes et ces crampes neuronales insupportables ..., c'est d'avoir constaté que ce plateau était composé dans sa majorité (masculine entre autres) que par des personnes travaillant dans les secteurs privés..., cumulant prestations (et salaires aussi, combien alors...?) télévisuelles et fonctions privées très lucratives. Pour parler des services publics..., étaient-ils-elles les plus a mêmes..., les plus représentatifs, les plus détachées de leurs philosophies politiques..., même si elles se sont défendues, pour la forme..., d'embrayer les débats sur ce domaine politique...? Non bien sûr... Pourquoi alors, pour respecter ce devoir d'équilibre et d'équité dans tout débat se prétendant être démocratique..., n'y avait-il autant de personnes issues des services publics que du secteur privé alors...? Avalons ça donc et taisons nous...?, puisqu'il n'y aura certainement aucune réponse... Pourtant la question est d'autant plus prégnante que certains-es de ces invités-es "poncifs" n'ont eu de cesse de dire, de pousser leurs idées, les justifiant dans la plus grande ambiguïté..., qu'il n'en critiquait pas leur utilité (l'utilisation des impôts pour nos services publics et leurs personnels), mais plus leur efficacité d'après le coté masculin des gens présents sur ce plateau. Passons sur la partialité du débat donc.

Des chiffres, comme ceux que l'on peut trouver sous forme de pattes, de vermicelles qu'on met dans la soupe des tout petits..., on y eu droit... Estimons nous heureux-ses. Mais ils furent si parcimonieux..., que l'on en reste sur notre faim. Autant l'aspect des impositions sur les particuliers, de leurs compositions différentes, comme l'impôt sur le revenu..., les TVA..., les taxes diverses...., leurs montants globaux..., leurs évolutions temporelles..., leurs élévations constantes..., nous fûmes déversés pêle-mêle dans cette soupe..., autant certaines absences, oublis..., en firent rendre transparent le fond du sujet... En effet, nous avoir instruit, nourri la conscience en éclairant notre jugement moral sur l'ignoble injustice qui existe depuis des décennies dans l'inégalité des impôts des particuliers entre les riches (au dessus de 5000 Euros l'impôt est régressif) et les pauvres, qui devrait être certainement cette parti là justifiable et légitime à parler de "raz le bol fiscal" (hors manifestation des patrons), et ce au regard des hausses des TVA et créations des nouvelles taxes (ces impôts les plus injustes pour des soit disant "socialistes")..., en considérant les multiplications des niches fiscales ne bénéficiant qu'aux gens aisés..., cela était plus que nécessaire..., nutritif intellectuellement. Pédagogiquement essentiel même...

Mais là ou la démagogie ne put s'empêcher de s'inviter et s'imposer à table..., comme un cheveux dans la soupe, ce fut alors de ne pas avoir honnêtement parler, et à aucun moment..., d'une autre régression de l’imposition... C'est celle sur les sociétés (passant de plus de 50 milliard d'euros initialement à 36 milliards pour 2014)..., quand celui sur le capital commence à peine, et avec tant de retard (parce que pas rétroactif...?) à être imposable. Pourtant le Crédit d'Impôt Compétitivité Emploi, ce cadeaux de 20 milliards d'euros (sans contrepartie, contrôle fiscal, etc rien...!) fut abondamment cité pour vanter un effort de la politique économique de l'offre, selon les plus néolibéraux présents sur le plateau, donc de tous et toutes. Mais non... Ce fut le silence radio... L'absence de lettre dans cette soupe aux petits vermicelles... Ce fut plus qu'un oublie..., mais certainement pas une marque d'incompétence.... Une absence bien orchestrée, dont l’ambiguïté qu'elle laisse planer..., dans un climat social ou les tensions sont telles.., que des patrons se permettent de saccager les biens publics sans être plus inquiétés que ça (judiciairement et fiscalement) par l’État de droit, quand les CRS sont invités à charger des manifestations d'ouvriers-ères syndiqués-es voulant défendre leurs emplois, des chômeurs-euses organisés-es pour occuper un Pôle Emploi (pas de loi d'amnistie sociale)..., rend l'ingestion de cette soupe médiatique du chiffre, nauséeuse, et bien plus douloureuse qu'il n'y parait...

Mais l'on peut comprendre le pourquoi de cet oublie..., qu'en y ajoutant un adjuvant, un genre de colorant..., de révélateur, un de ces produits dont on ne connaît pas encore les méfaits sur la santé... C'est qu'en mettant en lumière cette baisse faramineuse d'impôt sur les sociétés, cet énième cadeaux fait aux entreprises qu'est le CICE avec les aides publiques entrepreneuriales, soit l'assistanat colossal leur étant déjà attribué sans plus d'autres contreparties pour la créations d'emploi en masse, pour l'augmentation des salaires, pour la lutte contre la pauvreté et la précarité dans l'emploi... Elles sont d'un montant situé entre 110 milliards d'euros/ans..., et 200 milliards d'euros/ans et en montrant cela au grand jour..., la puanteur de cette soupe en aurait fait apparaître les raisons des injustices sociales, et fiscales qui sont d'une immoralité flagrante...

En mettant se montant au coté de la baisse de l'impôt sur les sociétés on peut comprendre aisément la gène que cette comparaison peut provoquer dans les consciences citoyennes, celles à la fibre social, vraiment humaniste, celles des victimes, des esclaves (pas patronales bien sûr) ressentant légitimement ce "raz le bol fiscal", dont les plus de 8,6 millions de pauvres vivant sous le seuil de pauvreté (chiffre de 2010 dont on peut supposer une hausse vertigineuse), les plus de 3,3 millions de chômeurs-euses en catégorie A et tout territoire confondu, les autres aussi..., les précaires dans l'emploi, et pour faire une juste généralité, les 50% de personnes non imposables pour cause de salaires trop bas, ne font qu'expliquer, démontrer leurs seules valeurs, leurs ultimes utilités et poids économiques dans un système capitalistique poussé vers son extrême...  Ils-elles ces vies humaines ne sont que des variables d'ajustement des profits des autres, d'un système de gestion économique et politique fabricant de l'inégalité, du chômage de masse, de la pauvreté de manière massive...! Cette injustice fiscale, sociale souligne la forme la plus pure de l'immoralité de l'économie spéculative néolibérale qui s'infuse au sein des démocraties et de leurs personnels politiques, institutionnels, et d'une société ou la lutte des classes s’affaiblit et laisse la place dominante à une classe sociale moyenne sup... individualiste et ego-centriste. .

Si l'oublie médiatique de cette clique s'arrêtait là..., si la froideur de l'économie qu'ils-elles ont essayé d'incarner derrière l'aspect a-moral qu'est la technocratie comptable, s'était contenté de ce temps de l'oubli..., on pourrait s'estimer heureux de ne pas en être arrivé à l'overdose de dégoût que ces injustices fiscales peuvent provoquer..., et se mettre à digérer malgré tout l'infamie politique...! Sauf que l'honnêteté intellectuelle oblige à parler aussi, "normalement" dans ce contexte de tensions sociales, ou des "bonnets rouges" aux ambitions opaques voudraient voir agglutiner à leurs revendications des travailleurs-euses victimes, et d'autres encore, dans cette énumération soporifique de comptes d’apothicaire ou l'on jongle avec des recettes fiscales et des dépenses publiques comme avec l’inconsistance des conséquences des erreurs passées..., des trous, des raisons d'accroissement de déficits considérables ont était aussi sciemment passés aux oubliettes. Et il semble que ces trous, ces déficits, s'accroissent d'autant plus qu'un soit-disant "raz le bol fiscal" émanant du patronat se fait entendre avec véhémence et provocation. La raison de cette omission n'est rien d'autre certainement que la quintessence de l'immoralité que des gens aux pouvoirs considérables (dans un rapport de force inchangé depuis des millénaires de maîtres/esclaves) dans nos sociétés dites civilisées...,  se permettent d'avoir, d'abuser. Ces mêmes décideurs et possédants-es se voulant donneurs-euses de leçons de morale politique, philosophique...

Les autres chiffres non énoncés et pour cause..., sont..., au total..., rien que pour l'année 2012, soit sur le compte du dernier quinquennat, quand ce faux "raz le bol" patronat n’était pas ressenti alors..., une estimation d'un minima de 80 milliards d'euros qui ont était fraudés, évadés, optimisés fiscalement (page 20).... Les années précédentes ce chiffre oscillait entre 40 et 50 milliards d'euros/ans. Et l'on apprend par ce personnel ayant fait ce rapport rendu à l'Assemblée Nationale, qui aurait pu être présent sur ce plateau pour apporter une contradiction démocratique légitime dans ce débat d'ailleurs..., que l'ensemble de ces fraudes etc..., sont imputables dans leur grande majorité à un patronat (comme les presque 20 milliards d'euros de fraudes aux cotisations sociales patronales pourtant baissées pour les bas salaires, expliquant en parti les déficits tant de la sécurité sociale - la branche retraite réformée dans l'injustice donc - que le l'UNEDIC, etc), ayant déjà reçu tant de cadeaux fiscaux...

Le rôle du politique et d'une chaîne du service public dans le consentement citoyen à l'impôt est essentiel... Du moins il me semble. Ses mensonges, ses cachotteries, ses reculades de façade, l'artifice qu'il manie avec la langue de bois, les plans com., la diversion, dans l'information qu'ils (média et politique) doivent tous deux aux citoyens-es sur les sujets des impôts sont donc le renoncement à ce consentement qui se légitime par la somme des injustices, des inégalités qu'il, le politique, creuse, et qui apparaissent de plus en plus dans les mensonges et trucages médiatiques...! Feindre de les cacher devient alors un travail compliqué, consistant à segmenter l'information, la cloisonner, la dé-contextualiser pour pouvoir isoler et séparer des sujets donnant une vision et compréhension globale de la problématique gênante, afin d'en neutraliser les aspects les plus délicats, possiblement comme passablement délictueux... C'est ce à quoi "nous"avons assister hier sur F3, et ce malgré l'annonce de 3 émission spéciale sur la 5 sur le sujet de l'évasion fiscale... L'"on" - eux l'oligarchie et ses fidèles serviteurs-trices politiques et médiatiques - ne peut déconnecter un sujet (la fraude, l'évasion, etc) de l'autre (les recettes et dépenses de l’État) sans le faire par intérêt précis, obscure. Comme de vouloir en minimiser l'impact, en déresponsabiliser les auteurs, ces politiques et autres devant veiller au grain, celui de la bonne tenue des comptes publiques par exemple (rentrées, sorties, utilisations, etc)..., quand on veut s'attaquer, supprimer ses sorties et à ses utilisations justement..., de dépenses de solidarité, de dépenses de fonctionnement de l’État, de l'éducation, etc. Tout les poncifs classiques du néolibéralisme cherchent à justifier que ces services privatisés, "ça nous coûterait moins cher.".., "on" en exclu alors de la problématique une parti de ses rentrées (entrepreneuriales) qui sont ces faiblesses considérables démontrées, du jeu politique...

L'utilisation sociale de nos impôts, quel-qu’ils soient, comme les prestations sociales apportées aux pauvres, aux chômeurs-euse (ayant cotisés-es, payés-es leur part pour en bénéficier, la plupart du temps pour les cotisations, et tout les temps par les TVA et taxes) qui n'ont donc que ça pour survivre dans un système capitalistique les excluant (de moins en moins de création d'emploi à cause d'une virtualisation de l'économie, et de la robotisation, automatisation, etc de la production des biens, des services -numériques- etc) au regard de cette aide publique, que l'on devrait plutôt nommer "économie capitalistique néolibérale d'assistanat d'entreprises", sans compter le remboursement de la sacro-sainte dette publique..., aides publiques accordées aux entreprises qui sont de plus en plus détournées par les riches, un certain patronat, pour des intérêts purement privés, financiers, alors ces prestations sociales distribuées à leurs victimes deviennent plus qu'indispensable... Plus que l'injustice sociale, fiscale, les inégalités, c'est l'immoralité qui fait perdre tout sens à ce qui nous à fait faire société..., et fait refuser le consentement à l'impôt. L'excessive dette, et certains déficits y étant attribué,, accentuée par la socialisation des pertes bancaires dues au crack financier de 2007/8 est un point de dissension qui ne peut que faire reculer ce consentement, quand ce poids ne pèse que sur les plus modestes énoncés plus haut. Il est même insupportable d'entendre qualifier cette solidarité nationale "de trop coûteuse"..., "trop généreuse"...,  quand la spoliation des richesses de l’État obtenue par les impôts, celles produites par la force du travail, la sueur et le sangs de vies humaines..., cotisant et contribuant sans chercher à échapper à leur devoir, sans même en avoir les moyens..., est plus qu'injustement faite par une économie de marché "administré" qui vampirise, fraude comme les pires des mafias, vole à l'échelle industrielle ce bien public, mine nos service public..., et veut priver notre avenir de tout espoir collectiviste...

La dette publique est cette sorte de cerise sur le gâteau, le désert de ce repas copieusement agrémenté d'inconstance et d'incohérence intellectuelle, scientifique (dans le sens politique et même économique comme financier). Car elle apparaît être à la foi ce lien qui mis d'accord tout les invités-es, jusqu'au présentateur ayant dévoilé là..., sa partialité..., sa faute..., qu'elle est cet horizon indépassable qu'est cette philosophie capitalistique néolibéral d'une pensée unique, surnommée "TINA"...! Sachant qu'elle ne pourra jamais être remboursée..., sauf à sacrifier encore plus les plus pauvres, les chômeurs-euses, les classes moyennes inf. etc..., aux profits de l'honteux enrichissement des plus fortunés-es et de ceux ayant les moyens d'avoir des actions, elle est devenue un moyen de chantage des plus minables, permettant de casser les droits du travail, de privatiser sournoisement les services publics (l'écotaxe étant le nouvel exemple criant de vérité), et de réduire les aides et solidarités indispensables à apporter aux victimes toujours plus nombreuses.

Peut-on être "content", comme au Danemark, de l'image, la qualité intellectuelle, l'honnêteté spirituelle de ce service public qui nous jeta à l'esprit son dévolu pour une idéologie politique et économie néolibérale et individualiste...? Quand ce support médiatique est l'un des services publics qui devrait incarner le plus l'exemplarité de par son audience, sa haute fonction symbolique, qui devrait être celle de l'information impartiale, de l'éducation et de l'émancipation citoyenne, de la culture et contre-culture, politique et autres, quand il montre à quel point son devoir est bafoué, son droit à l'indépendance qu'il doit démontrer aux citoyens-es est à ce point mépriser..., il y a un danger. Doit-on s'étonner que les services publics dans leur ensemble, leur personnel, leur efficacité, n'y soit pas quelque affectée, et est une si mauvaise image dans l'opinion publique, pour certains-es intéressés-es par sa destruction en tout cas, et courant les plateaux pour le faire entendre, quand l'un d'eux, et pas des moindres, est si mal représenté...? Je n’accuse aucunement le petit personnel de ce service là... Et au contraire je les invite à se ressaisir, à se détacher de l'emprise politique, et oligarchique, qu'ils subissent pour nous en donner pour nos redevances...!

Comment prétendre vouloir débattre d'un sujet à la teneur hautement symbolique comme l'impôt.., hautement politique comme sa répartition..., dans la pure lignée de la technocratie à l'opposée, ou presque, de la politique, (soit dans l'économie spéculative purement monétaire placée en opposition au sujet social) sans être et faire de la politique...?

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