Forcée de constater que j’intermitte de plus en plus le postage de billets et me demandant pourquoi, j’en suis venue à la conclusion que tout était de la faute de Koidir.
Il faut trouver Koidir.
Donc, je cherche Koidir.
Pour sa défense, je rappellerai d’abord que Mediapart n’apporte pas grand soutien à Koidir.
La question des « recoms de coms » reste pendante et Jeannette ne croit plus qu’on la pendouillera. Elle en pleure encore.
Au sujet des trolls, il est toujours interdit de leur interdire de venir dégobiller, dégoiser et déféquer sur les billets où ils ne sont pas bienvenus. On pourra constater que mon juste courroux me fait ire-ructer. C’est ainsi. J’enrage, au désespoir.
Enfin, au plan technique, faire la nique à Drupal ne changera rien au fait que, depuis juillet, le nombre des nouveaux commentaires n’apparaît plus au compteur du tracteur.
Conclusion provisoire : si labourage et pâturage , hier, mamellisaient la France, surdité et mutisme, aujourd’hui, n’en finissent pas de définir les rapports de Mediapart à son Club.
Ce qui n’arrange pas les affaires de Koidir. Serait-il maso, résignatophile ou les deux à la fois ?
Mais n’allons pas pour autant saintenitoucher, l’air de rien, le dénommé Koidir.
Certes, passer son temps à chercher Koidir n’est pas, pour les neurones, stimulativo-créatif.
Redouter, si on trouve Koidir, de se le faire re-gobiller aussi sec ne l’est pas non plus.
Mais… est-on obligé d’opinioner sur tout ? Ma grand-mère, qui litotait tant qu’elle pouvait, rappelait - en évoquant donc autre chose – que ce sont ceux qui en parlent le plus qui s’en servent le moins. J’ai retenu la leçon.
Car enfin parlons clair ! Claironnons sans jambages ! Jouer avec les mots, oui. Mais jouer sur les mots, non !
Qui oblige Koidir à aller provo-titiller tel ou telle, sachant avant même de commenter qu’il se fera voler dans les plumes ? Qui oblige Koidir à pique-niquedouiller avec, dans son panier, sauciflard et picrate ? Qui veut vaincre les cons, ou convaincre , et bis-répétiter ?
Ah, qu’elles sont donc increvables et humainement partagées, les petites joies de la « chicaya » !
Et, pour conclure, une question à Nodine, le grand gourou des pas liatifs :
Que faire ? (où, quand, comment et avec qui.)