Photo illustrant la couverture du livre de René Naba intitulé « L’Arabie saoudite, un royaume des ténèbres : L'Islam, otage du wahhabisme » (Golias-Éditions, Villeurbanne, France, octobre 2013).
« [l’Arabie saoudite], un pays qui parraine le terrorisme international, un pays qui pend les homosexuels, un pays qui décapite au sabre des poètes et les "mal-pensants", un pays qui a institutionnalisé les violences et les discriminations à l'égard des femmes, un pays qui instaure une ségrégation sexuelle, y compris pour les soins de santé, un pays où jusqu'à récemment les petites filles n'avaient pas le droit de faire du vélo, un pays où l'on coupe la main du voleur et où on lapide la femme adultère . " Le bilan des droits humains dans le royaume demeure épouvantable " affirmait encore le 19 mars [2014] Saïd Boumedouha, le directeur adjoint du programme Afrique du Nord et Moyen-Orient d’Amnistie internationale. L’Arabie saoudite s'active à l'échelle internationale pour criminaliser le blasphème et faire reculer les droits contraceptifs des femmes. L'Arabie saoudite n'est pas seulement une théocratie de droit divin qui impose un régime inique à son peuple, c'est le pays qui déploie des moyens colossaux avec ses pétrodollars pour tuer dans l'œuf tous les embryions démocratiques dans le Maghreb, au Moyen-Orient et en Asie » (dixit Djemila Benhabib sur sa page Facebook).
« Le plus jeune Royaume parmi les grands décideurs de la planète, l’Arabie saoudite, se voulait un phare d’un monde marqué par la renaissance de la sphère musulmane, après quatorze siècles de léthargie ottomane et de sujétion coloniale. Mais ce pays quasi centenaire, constamment gouverné par des gérontocrates depuis sa fondation en 1929, aura été l’incubateur absolu du djihadisme erratique dans toutes ses déclinaisons, « Idiot utile » de la stratégie atlantiste, destructeur des Bouddhas de Bamyan et des sanctuaires de Tombouctou, la meilleure justification à l’islamophobie occidentale, le meilleur alibi à l’impunité d’Israël et à sa sanctuarisation. Médine, Al Madina Al-Mounawara, la ville illuminée, sous-tend un royaume des ténèbres » (dixit René Naba dans http://www.renenaba.com/l-islam-otage-du-wahhabisme/ ).