À l’occasion du centenaire de la naissance de l’écrivain, la BPI en coproduction avec l’IMEC expose l’œuvre de Marguerite Duras à travers des archives et des manuscrits en insistant sur le lien entre l’écriture, le théâtre et le cinéma.
Avec Alexis Auffray et Maroussia Diaz Verbèke, le cordeliste Fragan Gehlker revisite Le mythe de Sisyphe de Camus dans Le vide, essai de cirque une époustouflante performance qui tient les spectateurs en haleine.
Jean-Hubert Gailliot imagine un mystérieux carnet, source de la modernité de l’art au XXe siècle. Le Soleil : un roman d’aventures captivant et jubilatoire.
Après Viviane Élisabeth Fauville, premier roman remarqué, Julia Deck suit l’errance d’une jeune femme aux faux airs d’Arielle Dombasle dans trois villes portuaires.
Fille de républicains espagnols exilés, la romancière se confronte pour la première fois à l’histoire de la Guerre civile. Dans Pas pleurer, elle met en parallèle la radieuse échappée d’une jeune femme à l’été 36 et le regard douloureux de l’écrivain Georges Bernanos sur les crimes franquistes.
La jeune génération s’empare d’une histoire qu’elle n’a pas vécue avec La imaginación del futuro, un spectacle provocateur qui crée le malaise et divise le public du festival d’Avignon. Questionnement salutaire ou réécriture malhonnête de l’histoire ?
Au Festival d’Avignon, Il paraît que les oreilles n’ont pas de paupières et Buffet à vif : deux programmes courts très réussis dans le cadre des Sujets à vif de la SACD.