Bon je sais, il y a des mauvais coucheurs parmi les abonnés, des qui cherchent la petite bête, des qui refusent de prendre légèrement de graves manquements à des principes qu'ils défendent tels le droit de savoir ou la liberté d'expression.
Aujourd'hui, cet abonné que je suis va effectivement faire dans le léger, l'insignifiant et même le futile tant ce détail de l'histoire du Club devient cocasse mais n'en doutez pas non dénué d'enseignement.
Venons en au fait.
Il semblerait, mais n'étant pas un habitué de propos interminables je n'ai jamais eu à y être contraint, que le nombre de caractères soit limité à 4500 par commentaire.
J'imagine qu'une telle règle répond à des critères techniques et que ce choix a été fait en pensant que chaque abonné s'y plierait volontiers et montrerait ainsi à quel point il est respectueux de ce qui peut nous mener à mieux vivre ensemble.
Des petits malins auraient effectivement pu, pour les besoins d'une expression particulièrement riche et développée, utiliser un artifice évident et banal, répondre à leur propre commentaire pour y écrire la suite de leur pensée particulièrement féconde.
Que penser d'une telle attitude de la part d'un tel abonné qui, par des voies détournées, passerait outre les contraintes imposées ?
Que penser d'une telle limitation quand elle peut être contournée aussi facilement ?
Que penser du fait que le chef en personne s'autorise à transgresser une règle qu'il a lui-même imposée ?
Extrait de ce billet: Affaire Cahuzac: la République du silence
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