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Billet de blog 27 juin 2013

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A LA MÉMOIRE D'UN ANGE

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

 J'ai deux mains, l'une pour serrer la main de ceux avec qui je marche dans la vie, l'autre pour relever ceux qui tombent " Marie-Jean Guyau, citation d'une stèle apposée au pied d'un immeuble à vocation sociale à Menton

Par delà les siècles, Cioran semble conserver une sympathie pour cette façon d’être qui est aussi une sympathie pour cette façon d’être qui est aussi proximité avec l’essentiel.

Le philosophe, c’est celui qui, dans la simplicité, voire le dénuement, met de la pensée dans sa vie et sa vie dans sa pensée. Il tisse de solides liens entre sa propre existence et sa réflexion, sa théorie et sa pratique. Pas de sagesse sans implications concrètes de cette imbrication.

Source : http://blogs.mediapart.fr/blog/vivre-est-un-village/050910/le-volontarisme-esthetique

Être et faire.

"Le même mot, hélas, n'a pas le même "poids" pour tous...ni, chez une même personne, à des moments différents."

Ce texte me renvoie à mon texte :

Je suis désolé mais les larmes m'envahissent et je dois fermer l’ordinateur.

19/06/2013, 14:50 Par Vivre est un village

CONCERTO A LA MÉMOIRE D'UN ANGE

http://www.youtube.com/watch?v=oqSSHwFEn_8

La mort soudaine le 22 avril 1935 de Manon Gropius, fille d'Alma Mahler et du grand architecte Walter Gropius des suites d'une poliomyélite affecte profondément Alban et Hélène Berg, amis proches d'Alma Mahler et de sa famille. Bouleversé par le décès de « Mutzi », cette jeune fille de 18 ans à peine, Alban Berg envisage de donner à son concerto le caractère d'un requiem à sa mémoire, « à la mémoire d'un ange », et le conduit à composer une œuvre sensible et émouvante.

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Concerto_%C3%A0_la_m%C3%A9moire_d%27un_ange

Source : http://ruminanc.blogspot.fr/2012/07/les-plus-d

Appât de loup

- Promenons nous dans les bois

pendant que le loup n'y est pas …
- Ben oui, jusque là tout va bien chez nous...
- Frères humains, qui après nous vivez,
N'ayez les cœurs contre nous endurcis,
Car, si pitié de nous pauvres avez,
Dieu en aura plus tôt de vous mercis.

La mort soudaine de Clément Méric, le 6 Juin 2013, de Clément Méric, fils de deux enseignants de droit de l'université de Bretagne occidentale à Brest, étudiant au lycée de l'Harteloire de cette même ville, où il obtient un baccalauréat scientifique avec mention très bien, c'était un « très bon élève » et « un gamin un petit peu rebelle » mais « tout à fait respectueux des règles », d'après son ancien proviseur Jean-Jacques Hillion du lycée de l'Harteloire6.

Il commence à militer dès ses 15 ans à la Confédération nationale du travail ; dans ce cadre, il anime localement un mouvement contre la réforme du lycée en 20107. Il va ensuite étudier à l'Institut d'études politiques de Paris8, et commence à militer au sein de Solidaires Étudiant-e-s9 et à fréquenter le kop Bauer des supporters du Red Star.

Il est également « antifa », membre de l'Action antifasciste Paris-banlieue et, « selon une source policière, il était connu des services spécialisés comme appartenant à un groupe de militants du Parti de Gauche qui recherche une prise de conscience de la réalité de l'extrême droite, notamment de la vingtaine de skins constituant le noyau dur des JNR (Jeunesses nationalistes révolutionnaires, groupuscule radical)6 » et de l'urgence d'engager une lutte contre ce mouvement largement inspiré du pétainisme.

Je recherche, de toute mes forces, ce qui a pu forcer Clément Méric, 50 kg, relevant de leucémie à cet héroïsme de provoquer ces loups du JNR.

En attendant, je pleure sa perte tout en souhaitant qu'une véritable stratégie se mette en place pour lutter, enfin, contre le pétainisme.

En bon "Bourdon de mêlée", j'essaie de composer une œuvre sensible et émouvante, avec l'aide essentielle de http://ruminanc.blogspot.fr/2012/07/les-plus-d ,  qui puisse nous convaincre de l'urgence de ce combat et de la meilleure manière de le livrer.

A bientôt.

Amitié.

Source : http://blogs.mediapart.fr/blog/vivre-est-un-village/130613/lautre-societe-le-poids-des-mots

Bonjour Edwige,

Je suis très content de retrouver votre message et je salue votre très intéressante pratique de gestion de l'information à laquelle je n'avais pas pensé...

!!!

Dans le cas de Clément Méric, il y a une autre "couche" de réflexion à mener, celle de la réflexion stratégique et je trouve en vous quelqu'un qui me prouve savoir ce que stratégie veut dire...

Comment une structure comme le Partie de Gauche composante du Front de Gauche a t-elle pu lancer sans aucun conseil et aucun intérêt un groupe de jeunes particulièrement brillants à l'assaut des pétainistes ???

Le souvenir de Max Dormoy* est -il si lointain que ça ?

...

J'en ai bien peur, hélas, et j'ai peur aussi que le souvenir de ses assassins les cagoulards**

...

Comment le Parti de Gauche a-t-il pu laisser tous ses Guy Mocquet de notre temps s'habiller avec des polos noirs en lieu est plus du rouge du Front de Gauche ou éventuellement du vert d'Eva Joly qui s'est, enfin, décédée à rejoindre le Front de Gauche ?

...

Pourquoi ne pas aller s'habiller dans une boutique gérer par un membre du Front de Gauche ou par une verte tendance Eva Joly ?

...

Toutes ses questions m'obsèdent et j'aimerais bien que, enfin, que le vrai problème de la France qui explique tous les autres, à savoir  son absence de combat contre le pétainisme, de préférence par le Front de Gauche mais s'il n'y a plus que facebook qui existe en France, que ce soit par facebook.

S'il faut facebooker les mots pour qu'ils soient entendus à la manière dot Jean Ferrat twistait les mots pour qu'ils soient entendu, l’essentiel étant d'être entendu...

A bientôt.

Amitié.

  *Lors de la fusillade de Clichy le 16 mars 1937 (manifestation des Croix-de-feu et contre manifestation de socialistes et communistes locaux avec intervention des forces de l'ordre), il est personnellement mis en cause par les communistes qui mettent en cause la réaction des forces de l'ordre3.

Il consacre principalement ses activités à la lutte contre la Cagoule, laquelle est démantelée à la fin de novembre 1937. Il n’a pas le temps de détruire complètement ses ramifications dans les milieux économiques, en particulier dans les grandes entreprises qui, selon les Renseignements généraux et la police judiciaire, ont financé le mouvement terroriste.

Il démet Jacques Doriot de ses fonctions de maire suite à des irrégularités dans la gestion municipale (la ville de Saint-Denis était devenue un foyer d'agitation anti-républicaine) [réf. nécessaire]. Il défend une ligne d'opposition intransigeante face aux régimes fascistes et se prononce contre les accords de Munich. Le 5 avril 1938, lors d'une séance particulièrement houleuse qui se finit en bagarre, et alors que les cris « A bas les Juifs! » se font entendre à l'Assemblée nationale, il rétorque à un député breton antisémite : « Bande de salauds. Et d’abord un Juif vaut bien un Breton4 !»

Après ses passages au gouvernement, il est élu sénateur en 1938.

En juillet 1940, il fait partie des 80 parlementaires refusant de voter les pleins pouvoirs au maréchal Pétain. Le 20 septembre 1940, il est suspendu de ses fonctions de maire de Montluçon, puis emprisonné cinq jours plus tard. Il est incarcéré à Pellevoisin, puis à Vals-les-Bains avant d'être mis en résidence surveillée à Montélimar.

Il est assassiné dans la nuit du 25 au 26 juillet 1941 par une bombe à retardement placée sous son lit par d'anciens cagoulards. Inhumé discrètement, il aura le droit à des funérailles solennelles à Montluçon le 9 décembre 1945. Il est cité à l'ordre de la Nation en 1946 et médaillé de la Résistance française avec rosette en 1947.

Marx Dormoy est inhumé au cimetière Saint-Paul à Montluçon.

C'était un ami intime du peintre Lucien Pénat (1873-1955) qui fit de lui plusieurs portraits. (source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Marx_Dormoy )

** La Cagoule est le surnom donné par la presse à l'« Organisation secrète d'action révolutionnaire nationale » (OSARN, c'est le nom donné par ses fondateurs, l'adjectif nationale disparaît assez vite pour donner l'OSAR) transformé par erreur, à la suite d'une faute figurant dans un rapport d'informateur en « Comité secret d'action révolutionnaire » (CSAR). C'est un groupe d'extrême droite actif dans les années 1930 en France. Son principal dirigeant fut Eugène Deloncle.

Ce surnom lui a été attribué par Maurice Pujo de l'Action française. Lorsque ce terme est utilisé par son journal, c'est avec dédain et mépris : Pujo, comme Charles Maurras, le collaborateur le plus célèbre du quotidien L'Action française, ne tient pas à ce que son organisation royaliste soit confondue avec cette organisation ouvertement terroriste, dont plusieurs dirigeants sont d'anciens membres de l'Action française.

L'après-guerre

À la Libération, Jean-Marie Bouvyer bénéficie du témoignage en sa faveur de François Mitterrand, passé à la résistance en 1942. En effet, Bouvyer a caché chez lui du matériel et fabriqué de faux papiers pour le Mouvement national des prisonniers de guerre et déportés, le mouvement dirigé par François Mitterrand et Maurice Pinot. D'autres témoins, comme le capitaine FFI Maubois, ont également attesté de services rendus. Bouvyer a noué une amitié personnelle avec François Mitterrand. Lors de son procès, il affirme avoir renié ses idées des années 1930, se disant prêt à dénoncer tous les dirigeants de la Cagoule qu'il connaît et même à s'entendre avec les communistes autrefois abhorrés12. La mère de Jean-Marie Bouvyer devient en 1946 la marraine de Jean-Christophe Mitterrand.

Le procès de la Cagoule eut lieu en 1948.

Eugène Schueller, alors patron du groupe L'Oréal, fut un soutien inconditionnel d'Eugène Deloncle et Marcel Déat, collaborationnistes notoires. Il ne fut cependant pas inquiété à la libération, ayant donné des gages à la résistance, comme au régime de Pétain, ce qui lui permit de mettre Louis Deloncle à l'abri des poursuites de ses adversaires politiques. (source : http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Cagoule )

Source : http://www.mediapart.fr/comment/edit/3630785

Eugène Schueller met ses moyens personnels à la formation du groupe d’extrême droite ‘‘Comité secret d’action révolutionnaire’’ (CSAR), plus connus sous le surnom de La Cagoule dont André Bettencourt fait partie et le siège de L'Oréal abritera de nombreuses réunions de l'organisation9,10,11.

En 1938, Eugène Schueller met en place dans l'entreprise le « salaire proportionnel », qui suit l’évolution du chiffre d’affaires.

Le 4 avril 1939, la société prend le nom de L’Oréal. Elle s’installe au 14, rue Royale, prestigieuse artère parisienne reliant la place de la Madeleine à la place de la Concorde.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, André Bettencourt dirigera la revue française collaborationniste, La Terre française. En 1942, Eugène Schueller envoie André Bettencourt en Suisse afin d'« aryaniser » la société Nestlé dont il est devenu l'un des principaux actionnaires12.

Après la guerre, André Bettencourt rejoint la direction du groupe. La filiale de L'Oréal en Espagne est créée par Henri Deloncle, le frère d'Eugène, elle emploiera le cagoulard Jean Filliol, condamné en tant que co-responsable du massacre d'Oradour-sur-Glane13, lui permettant ainsi d'échapper à l'exécution de sa peine. Par ailleurs François Mitterrand est engagé comme directeur général du magazine (promotionnel des produits L'Oréal) Votre Beauté14.

Jacques Corrèze, quant à lui, prend la tête de L’Oréal aux États-Unis. Cosmair (COSMetics for hAIR) devient l’agent exclusif des produits L’Oréal sur le continent américain. La même année, le groupe conclut des accords techniques avec la Société d’Hygiène Dermatologique de Vichy, pour intégrer le marché des pharmacies.

André Bettencourt épouse Liliane, la fille unique d’Eugène Schueller, en 1950. Il sera secrétaire d’État de Pierre Mendès France de 1954 à 1955, puis ministre de 1966 à 1973.

François Dalle prend la tête du groupe en 1957, à la mort de Schueller. Liliane Bettencourt devient l'actionnaire unique du groupe.

L’Oréal s'implante deux ans plus tard au Brésil où il crée Faproco (FAbrica PROdutos COsméticos S.A.).

Le groupe devient une SA et entre en bourse en 1963.

En 1976, François Dalle (alors Président Directeur Général) et Liliane Bettencourt (fille du fondateur) font édifier à l'emplacement de l'ancienne usine Monsavon (rue Martre à Clichy) un ensemble de bureaux et les laboratoires d'un centre de recherche. Le but est de regrouper les diverses directions techniques et commerciales dispersées dans Paris.

Installée depuis 1935 à Courbevoie, Lancôme est à l'étroit avec son développement. Armand Petitjean (son fondateur) achète alors un terrain de 39 000 m2 à Chevilly-Larue (Val-de-Marne) au milieu des maraîchers et des horticulteurs ; Lancôme déménagera dans ses nouveaux locaux en 1962. Quant à l'usine d'Aulnay, la création revient à Denis Valode et Jean Pistre. Gagnants du concours architectural lancé par L’Oréal pour la construction de ce nouveau site de production, on y retient le toit en forme de trois pétales de fleur blancs.

Il existe un site de production Gemey à Orléans-Ormes et un site logistique Garnier-Gemey (à Orléans-Ingré).

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/L%27Or%C3%A9al

«On a tous eu des relations avec ces gens-là [les milieux néo-nazis]»

Dîner chez les Maréchal, couple de militants du FN, avec les membres du bureau du FN 92. Christian Maréchal est bien plus qu'un militant : membre historique du Front, il fait partie de la commission de discipline. Catholique traditionnel, il affiche les portraits du maréchal Pétain et de Jean-Marie Le Pen à son domicile. Ce soir-là, il s'inquiète de savoir si l'avalanche de messages «nazis» de Jean-Paul L., un militant frontiste, sont «publics» :

Source : http://www.mediapart.fr/journal/france/200212/front-national-voyage-dans-lordinaire-raciste?page_article=2

http://politique.lefigaro.fr/brice-hortefeux-president.html http://blogs.mediapart.fr/blog/vivre-est-un-village/171210/le-bon-samaritain

http://blogs.mediapart.fr/blog/vivre-est-un-village/131012/une-nouvelle-proposition-de-loi-pour-cesser-dassocier-vichy-la

http://blogs.mediapart.fr/blog/vivre-est-un-village/200812/horte-feu

http://book.emissaire.over-blog.com/article-alexandre-jardin-la-face-noire-du-nain-jaune-67254954.html

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