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Billet de blog 18 juillet 2010

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Joue-la comme Jubran

Koto-piano, kora-violoncelle, balafon-vibraphone, bozouki-harmonium, clarinette-guimbarde chinoise, guitare électrique-riti et maintenant oud de palestine et claviers électro suisses. La 15e édition du festival Les Suds multiplie les croisement, les expérimentations.

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Koto-piano, kora-violoncelle, balafon-vibraphone, bozouki-harmonium, clarinette-guimbarde chinoise, guitare électrique-riti et maintenant oud de palestine et claviers électro suisses. La 15e édition du festival Les Suds multiplie les croisement, les expérimentations. La dernière prolonge la rencontre de Kamilya Jubran et de Werner Hasler. Ces deux-là se connaissent de longue date: 2002, à Berne, sur un poème de Khalil Gibran, Ghareeba.
Kamilya Jubran est elle-même un creuset: Israélienne mais Palestinienne, grandie dans une famille orthodoxe grecque avec un père qui fabriquait des iuds et des qanouns (cithares), aimant Oum Kalsoum, Marcel Khalifé, Cheikh Imam, chantant le rock avec son groupe Sabreen, travaillant le rap avec IAM.
Werner Hasler y joue sa touche électro-acoustique pour trompette et laptop. «Joue» au sens ludique autant que musical: il échantillonne, restitue, déforme, estompe, lie voix, luth et nappes technoïdes pour un résultat intrigant mais pas tout à fait dénué de sensualité.