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Billet de blog 3 décembre 2010

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HENRI- LEVY BOTUL LE DROIT-DE-L'HOMMISTE QUI PENSE ECRIT PARLE AVEC SON IDENTITE NATIONALE ISRAELO -AMERICANO -NEO CONSERVATRICE

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(LEGRANDJOURNAL) (LEGRANDJOURNAL)

J'ai zappé sur les chaîne pour écouter, les intervenants habituels, afin de noter les mots clefs qui sont déversés, pour discréditer Wikileaks.

J'écoutais avec attention, "les cochonneries ", de Bernard-Henri Levy Botul au Grand journal de canal+, parler de WikiLeaks en traitant ce site de "déguoulasse",et en prédisant que Wikileaks sera responsable de futurs assassinats de certaines sources

(mots clefs aussi utilisés par un intervenant de l'émission C dans l'air (LIEN))

Soudain, son regard s'assombrit ,pour parler d'un grand danger qui menaçait la France.

Le coeur battant, j'ai cru qu'il allait nous annoncer que les israeliens cachaient des armes chimiques, ou quelques bombes au phosphore, sous le lit d'Ariel Sharon.

Fausse alerte !! le danger était Jean-Luc Melenchon en le plaçant au même niveau que Marine Le Pen à la tête d'un parti politique fasciste.

Manuel Vals, reprit comme un perroquet, sur "le populisme "de Jean-Luc Melenchon.

Entre deux gentillesses sur Jean-Luc Melenchon, et Wikileaks, "BHL" Bodul , qui a " le commerce dans la peau ",comme son père , "comme d'autres faisaient dans le bois... d'ébène" ! ....a fais un peu de promotion, pour son copain Roman Polanski , qui a drogué, violé, sodomisé, une fillette de 13 ans, alors qu'il était âgé de 40 ans(LIEN).

Bernard Henri Levy Botul l'écrivain droit-de-l'hommiste, qui philosophe, écrit et parle, " avec son identité nationale israelo-américano neo conservatrice", quand il s'agit de servir les intérêts et la propagante,israélo-américaine. " Botul", est obsédé par les barbus et l'Iran, à l'instar de Jack Bauer et de Jean-Davite Levitte (un cousin éloigné, de BHL ?).

Mais, "sa fibre droit-de-l'hommiste" ne s'éveille jamais quand il s'agit de parler des crimes de guerres, de spoliation, et autres exactions commis depuis 62 ans par Israël , ou de ses " alliés" américains, qui profitent du chaos, qu'ils installent à travers le monde entier. "BHL" Botul a qualifié les horreurs, commises à Abu Ghraib de "cochonneries".

Avant de zapper sur France2, je regardais le Petit journal , avec une belle photo de famille, de l'Intelligentsia parisienne, s'engoufrant au Café de Flore () pour fêter les 20 ans de la revue de BHL Botul, dont l'invité d'honneur était Roman Polanski .

Nous nous serions cru à , un rassemblement du cercle du Siècle ou du groupe Bilderberg()

Parmi les invités plusieurs des amis de BHL Botul de la gauche caviar, "les propriétairse de faits" le Ps.()

NB pour éviter toute confusion et une nouvelle dépublication ;-):

Je précise que ce n'est pas Jean-Luc Melenchon, ni Julian Assange, qui viola la fillette, et que Roman Polanski n'a pas drogué, ni violé ni sodomisé, la fille de Bernard Henri Levy Botul...

Lire aussi ce très bon billet (LIEN)

Je vous recommande, mon billet




(LIEN) (LIEN) En 1985 Bernard Henri Levy, Revel et Gluskmann signent une pétition pour encourager Ronald Reagan à continuer à soutenir les fameux Contras au Nicaragua, ceux-ci s'illustreront dans des crimes de guerre et débouchera sur un scandale majeur de l'ère Reagan : Affaire Iran-Contra

Selon les auteurs d'une enquête sur BHL, Nicolas Beau et Olivier Toscer, l'épouse de Daniel Pearl reprocherait à BHL à propos de son « romanquête » Qui a tué Daniel Pearl ? un « viol littéraire »[. Mme Pearl a déclaré au sujet de Bernard-Henri Lévy qu'il est un homme dont « l'ego détruit l'intelligence »

BHL est présenté par certains journalistes comme un imposteur intellectuel. Ses détracteurs estiment que sa réussite ne serait due qu'à un réseau de connaissances bien organisé.

En février 2010, à la sortie de son ouvrage De la guerre en philosophie, la référence à un philosophe fictif, Jean-Baptiste Botul (inventé par le journaliste du Canard Enchaîné Frédéric Pagès), pour appuyer ses critiques sur Emmanuel Kant provoque une vague de commentaires consternés et ironiques dans la presse, à la suite d'un article de la journaliste Aude Lancelin paru sur le site littéraire du Nouvel Observateur[68]. Frédéric Pagès commente : "La vie sexuelle d'Emmanuel Kant raconte l'histoire farfelue d'une communauté d'Allemands de Königsberg (devenu Kaliningrad) ayant fui au Paraguay pour constituer une colonie strictement régie par la philosophie kantienne. Cela aurait dû l'alerter. Cela pose une question sur sa façon de travailler." Bernard-Henri Levy reconnaît l'erreur et écrit "Chapeau pour ce Kant inventé mais plus vrai que nature et dont le portrait, qu’il soit donc signé Botul, Pagès ou Tartempion, me semble toujours aussi raccord avec mon idée d’un Kant [...] tourmenté par des démons moins conceptuels qu'il y paraît."[69],[70] Cet ouvrage a reçu le 30 juin 2010 le Prix Botul, Bernard-Henri Lévy ayant (bien qu'absent ce jour-là) accepté de faire partie du jury, condition nécessaire pour le recevoir.

Bernard-Henri Lévy a été, plus que n'importe quelle autre personnalité publique, victime d'entartages en Belgique et en France (on compte sept attentats pâtissiers entre 1985 et 2006)[66]. Lors de l'un d'eux en 1985, il a renversé son agresseur, Noël Godin, pour lui intimer ensuite : « Lève-toi vite, ou je t'écrase la gueule à coups de talon ! »[67]. Cette réaction, filmée, a été largement diffusée et moquée, notamment par Coluche et Pierre Desproges ; elle lui a également valu une chanson de Renaud, L'entarté.

Exploitation humaine et déforestation

De 1995 à 1997, BHL prend les rênes de la Becob, société d'importation de bois précieux africain, l’affaire familiale qu’il codirigeait de fait depuis plusieurs années et dont Guy Carlier était le directeur financier de la fin des années 1970 jusqu'à 1982. La Becob opérait en Côte-d'Ivoire, au Gabon, au Cameroun En mars 1998, Entrevue décide d’envoyer une équipe enquêter sur la Becob, mais leur reportage ne sera jamais publié : BHL étant intervenu directement auprès d’Arnaud Lagardère, propriétaire du journal, pour faire passer le reportage à la trappe. En juin 2000, une ONG britannique enquête sur l’impact environnemental de la Société de la Haute Mondah qui a repris une concession gabonaise exploitée avant par la Becob. Ce faisant l’ONG met en évidence les conditions de semi-esclavagisme dans lesquelles travaillent les employés.

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