La fragmentation est je pense une commodité qui nous dit bien plus sur nos résignations que sur la réalité.
Pourtant c’est bien ainsi que les choses nous apparaissent : fragmentées.
Il y a le dedans et le dehors, le rationnel et le sensible, le connu et l’inconnu, les sciences et les croyances, l’individuel et le collectif, l’intime et le public, il y a même le national et l’étranger, le régional et le local etc. etc. etc.
Est-ce à dire qu’il faille nous en satisfaire ?
Peut-on réellement fonder une opinion ou un projet valide sur des lambeaux de réalité ?
Que sont ces certitudes et ces stabilités bornées ?
Peut-on réellement construire et quel est ce lambeau de terre, cette patrie qui pourrait être légitime ?
Référence fortuite et bienvenue, deDriss Jeydane
Référence non fortuite et pour mémoire
( ON CONTINU)