Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Je suppose qu’ici, « au club » (c’est d’un chic !) la plupart d’entre nous ont connu dans leur famille ou leurs cercles d’amitiés et de voisinages, des personnes nées à la fin du 19ème siècle. Il n’en reste quasiment plus aujourd’hui, mais nous en avons bien connues, c’est une évidence. Et elles, qui avaient-elles connu… ? A ce petit jeu s’opère instantanément dans nos têtes comme une espèce de rétrécissement du temps. Mais, après un bref instant de vertige… oui, finalement 1848 c’était tout juste hier et 1789 avant-hier. En fait ce n’est pas le temps qui rétréci, c’est cette enflure démesurée du moi qui s’amenuise, qui reprend sa juste place. La baudruche se dégonfle qui dilatait son propre temps. Oublieuse de l’avant soi-même elle occultait les perspectives, brisait les continuités, s’aveuglait dans une improbable fragmentation des temps. Les choses alors deviennent plus claires. Les lignes se dessinent. De quel héritage est porteuse cette partition de petits coqs que nous jouent les pieds nickelés qui nous gouvernent ? Quelle généalogie est donc la leur ? Et que veulent dire ces combats de coqs, aspirant à se percher à leur place ? Dans quels temps dilatés sont-ils tous englués ? Ce billet ne vaut qu’à la suite des précédents. Y'en a deux : le premier et le second (ce qui n'est pas plus mal) Mais il vaut aussi par celui qui suit... mais nul n'est obligé).
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