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Le blog de LINGUA

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Bref retour sur une séance du Conseil de Paris
Année après année, l'abandon des jeunes et mineurs isolés ne cesse de faire polémique. C'est une épine le pied pour les communicants de la Mairie que le déni, martelé Dominique Versini[1] - « il n'y a pas de mineurs isolés dans les rues de Paris » - n'arrive pas à juguler. Certes, la rumeur demeure à la marge, mais elle persiste comme un symptôme. -
Au côté des jeunes et mineurs étrangers, pour l’avenir de chacun dans ce pays !
Nous affirmons la pleine appartenance de ces jeunes gens à ce pays et à cette ville. Ces jeunes sont là, ils sont ici et doivent être considérés comme tels par les autorités publiques ! -
Mineurs étrangers : chantage odieux de la mairie de Paris et abandon national !
Analyse d'Olivier, militant de CPMJIE, à propos de la situation des Mineurs Isolés Etrangers à Paris. -
PLAIDOYER POUR LA PROTECTION DE L'ENFANCE
A l'occasion de la Journée internationale des droits de l'enfant, des personnalités de la société civile dont l'historien Pap Ndiaye dénoncent la nouvelle loi sur la protection de l'enfance, qui légalise la discrimination des mineurs étrangers. -
PLAIDOYER POUR LA PROTECTION DE L'ENFANCE
A l'occasion de la Journée internationale des droits de l'enfant, des personnalités de la société civile dont l'historien Pap Ndiaye dénoncent la nouvelle loi sur la protection de l'enfance, qui légalise la discrimination des mineurs étrangers. -
Combattons la ségrégation nationale et l’abandon public
Le traitement dévastateur infligé aux jeunes et mineurs étrangers sur notre sol doit appeler une condamnation nette. -
Combattre résolument la ségrégation nationale
Des gens, tous réfugiés, sont sévèrement triés, indistinctement hommes, femmes et enfants. Ils trouvent abri sur les pavés des grandes villes, peuplent les places, les avenues fréquentées et se serrent dans les bidonvilles. Leur oubli est impossible ! -
Avant, l'enfant étranger était un mineur. Aujourd'hui, il est un étranger
Les lois récemment votées suppriment celles qu’on pourrait qualifier de bonnes ou protectrices, celles que les gens s’approprient naturellement parce qu’elles sont faites de probité, de justice et correspondent à un souhait collectif. L’exemple le plus frappant est celui de la loi réformant la protection de l’enfance. -
LES JEUNES A LA RUE, LA MAIRIE RESPONSABLE !
Les jeunes étrangers ne vivent dans la rue par choix. Leur situation, c’est à dire dormir dehors et être isolés, découle d’un refus, celui des autorités. C’est parce qu’il y a refus que des habitants, des bénévoles et des militants s’activent, toujours dans l’urgence, au rythme des rejets et des refus de prise en charge qui sont la conséquence d’une politique assumée.