C'est sous ce titre que s'ouvre le numéro 4 des Nouveaux Cahiers pour la folie. Sur la Une aussi, on peut lire cette belle définition: « FREUDONNER : chanter à mi-voix en laissant s’exprimer son subconscient ».
C'est sous ce titre que s'ouvre le numéro 4 des Nouveaux Cahiers pour la folie. Sur la Une aussi, on peut lire cette belle définition: « FREUDONNER : chanter à mi-voix en laissant s’exprimer son subconscient ». Dans ce nouveau numéro, on trouve aussi des témoignages de « personnes qui luttent pour une certaine liberté, une existence acceptable, supportable » ; - Le récit d'une mère qui s'interroge sur l'opportunité de demander la statut de handicapé pour son fils qu'elle a toujours su « différent »; - Celui d'une autre qui raconte les 17 médecins qui ont suivi sa fille pour finalement constater que « l’hôpital ne soigne pas ». - Celui d'un homme, se souvenant de son cousin qui « savait parfois lire avec sensibilité entre les lignes./ Il avait un cœur gros comme ça ! Il n’en faisait qu’à sa tête » ; - Des fragments de vie – dessins, poèmes ; - Des réflexions des soignants (Pina Baush aurait pu faire ça / Corps courbés. Corps pliés, mais d’un côté seulement. Corps penchés. Avachis. Alertés / Corps vus et qui se sentent parfois vus. / Qui le savent. / Les corps de la peur. / La peur, c’est là où il n’y a pas de prise) ; - De la colère à voir des œuvres exposées sans que les patients de l'hôpital en soient informés. - De la solidarité, au centre Antonin Artaud à Reims, où s'est créée un jour l'association Humassy.
Allez-y, feuilletez-le.
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Ce numéro en version papier (ainsi que les trois précédents) est également possible sur le site des Editions Champ social, cliquer ici.