Jeudi 10 avril 2014 à 15 h Salle du Temps Libre / 6, rue du Maréchal Foch22000-SAINT-BRIEUC :
Intervention du Dr Claude LESNE (Médecin, spécialiste de la toxicité des polluants aériens / CNRS 1986-2010)
Pourquoi la ''Justice de la République'' ne cherche-t-elle pas à établir la vérité sur les circonstances du décès de M. Thierry MORFOISSE ? « Intoxications au sulfure d'hydrogène et infarctus du myocarde : une relation connue, reconnue, observée et publiée depuis soixante ans »
Le Comité de soutien à Thierry MORFOISSE se mobilise pour éviter que la plainte de sa famille soit rejetée par la ''Justice de la République''. L'inhalation de fortes bouffées de sulfure d'hydrogène (H2S) lors du dépotagede 3 bennes d'algues vertes, en état de décomposition avancée, a contribué directement au déclenchement de l'infarctus du myocarde dont M. Thierry MORFOISSE est décédé.
A l'issue de cette conférence un point Presse est prévu pour délivrer les documents utiles à l'instruction judiciaire en cours
Comité de soutien à Thierry MORFOISSE :
ACEQV
Coll. Cadre de Hirel
U.S SOLIDAIRES
Côtes d'Armor Nature Environnement
Sous le vent, les pieds sur terre
BDZE
AE2D
Sauvegarde du Trégor
Sauvegarde du Penthièvre
En pièces jointes les éléments chronologiques et articles de presse
-------------------------------------------------------------
Le petit mot du posteur Patrig K
Pour résumé la stratégie de contournement des institutions, l'enfumage, la lenteur des procédures, le jugement à l'emporte pièce d'un sinistre fonctionnaire à justifier le décès de Thierry et sous prétexte que son hygiène de vie laissait à désirer, ce que contredit M. Morvan, élu minicipal qui l'a très bien connu et de plus qui subissait des controles réguliers pour le maintien de son permis poids lourd, en bref le cynisme d'une techno structure dont on peut s'interroger si il y a toujours quelqu'un à la commande.
En tout état cause, l'évidence d'un mépris institutionnalisé et prèt à tout pour s'auto satisfaire du laisser faire.
Les grattes papiers sont-ils les néo-maitres ? Je vous laisse juge d'en conclure des suites à donner.