Historien et journaliste indépendant, spécialiste des relations internationales et notamment du Proche-Orient, animateur bénévole de La Chance.
Paris - France
Le génocide perpétré à Gaza par le gouvernement israélien et son armée à suscité un mouvement de solidarité dans le monde entier, y compris des pays occidentaux. Chacun y a apporté sa pierre. Cinéaste engagé, mon ami Abraham Ségal a réalisé une série de six courtes vidéos. Vous la trouverez ci-dessous.
Professeur d’histoire à l’Université de Tel-Aviv, Gadi Algazi fut un des premiers refuzniks israéliens - ce qui lui valut près d'un an de prison - et le co-fondateur de plusieurs mouvements de solidarité judéo-arabe, notamment Taayush et Tarabut. C’est avec lucidité qu’il tire de premières leçons d’un an et demi de guerre en réponse à mes questions pour « La Presse nouvelle magazine ».
C'est « le Badie » de 2024. Et il surgit à point. L'invasion russe de l'Ukraine et les nouvelles guerres d'Israël poussent à réfléchir sur... l'art de faire la paix. Bertrand Badie répond dans ce nouveau livre au général chinois Sun Tzu, auteur de « L'art de la guerre ». Et il est temps de passer du constat aux solutions.
Le grand journaliste Albert -Paul Lentin fait partie des cibles du livre À la solde de Moscou. Décéde en 1993, il n’est plus là pour se défendre. c’est pourquoi j’ai invité sa famille à réagir sur mon blog.
J’ai participé samedi - en visuel- à un colloque organisé à l'Université libre de Bruxelles sur « L’antisémitisme instrumentalisé ». Voici l'intervention que j'y ai présentée.
Dimanche après-midi, l’Institut du monde arabe nous avait conviés, l’historien Elias Sanbar, le député à la Knesset Ayman Odeh et moi à croiser nos regards sur l’expulsion des Palestiniens en 1947-1949. Anaïs Abou Hassira animait la rencontre. Voici le texte de mon intervention.
Mon ami Gadi fut le premier objecteur de conscience israélien, ce qui lui valut un an de prison. Il a créé/animé plusieurs mouvements pacifistes et anticolonialistes, comme Campus, Taayush et Tarabut. Il enseigne l’histoire à l’Universite de Tel-Aviv.
D.V.
Le 20 mai, l’Iremmo-Suds organisait à Marseille une journée consacrée à la parution d’« Araborama » intitulé « Ce que la Palestine a apporté au monde ». À cette occasion j’ai présenté, devant 120 personnes, une conférence sur « La voix étouffée des nouveaux historiens ».
Côté pile, c’est (surtout) une encyclopédie. Côté face, c’est (parfois) une entreprise de manipulation. Si vous en doutez, consultez la notice que Wikipédia me consacre : depuis quelques semaines, elle a été transformée en pamphlet à charge par des anonymes protégés par... des anonymes. Impossible de rétablir la vérité des faits....
Le lycée Saint-Exupéry de Mantes m'a invité hier à donner une conférence à ses étudiants, dont les candidats à l'Institut d'études politiques de Paris. Le hasard a voulu que cette rencontre intervienne en pleine crise en Israël, deux jours après le premier recul de Benyamin Netanyahou. D'où ces réflexions à vocation pédagogique sur « les (dé)raisons d'une escalade ».