Lex in the city (parce qu'un avocat peut aussi avoir de l'humour)

Dans sa chronique publiée par Le Point le 21 mars 2025, le climatosceptique Jean de Kervasdoué ironise sur l'avancée considérable obtenue devant la Cour administrative d'appel qui a retenu l'existence d'un préjudice moral d'anxiété. Comme Le Point a refusé de publier ma réponse, je la partage avec Mediapart.

A la demande de l'association "Victimes du Puretech" et de la plateforme Myleo, je participerai à la réunion publique (en présentiel et sur facebooklive)

J’ai testé pour vous la plateforme qui a été mise en place par STELLANTIS pour gérer, en France puis à un niveau européen, les réclamations des propriétaires de véhicules équipés de moteur PURETECH.

(communiqué de presse 22 décembre 2024) A travers la plateforme MyLeo, ce sont près de 5.000 consommateurs mécontents qui ont cherché une solution amiable avec STELLANTIS en raison des problèmes récurrents rencontrés avec les moteurs PURETECH (EB2). Face à l’inconséquence du constructeur, il faut saisir la justice

En plein essor, la plateforme d’actions collectives MyLeo lance sa première opération de mécénat au profit de l'Institut Citoyen de Recherche et de Prévention en Santé Environnementale

Depuis 50 ans, la France dénie aux citoyens des territoires d'outre mer le droit de se prévaloir de la CSE.

3 questions à Christophe Lèguevaques (CLE), avocat au barreau de Paris. CLE met son expertise à la disposition des opposants au projet d’autoroute A69 « Toulouse-Castres ».

Alors que la campagne commence à peine, les gauches se focalisent sur le débat qui ne doit pas être le coeur du sujet : qui sera le premier ministre du Nouveau Front Populaire Pour éviter que cette question ne pollue la campagne et ne cristallise les frustrations, je propose une solution simple et élégante.

En plaçant Geoffroy Lejeune à la tête du JDD, Vincent Bolloré applique sa technique habituelle : prendre le contrôle d’une société porteuse d’une raison d’être - comme le fameux « esprit Canal », par exemple - pour le réduire à néant par une « zombification » de la rédaction.