Soit : ‘’Pourquoi changer une ligne éditoriale qui gagne ?’’ (en éléments de langage plénelien : ‘’Pour en finir avec la première dame’’).
Franchement, ce qui se confirme n’est-il pas, comme je le dis depuis longtemps, qu’il faut révolutionner la révolution ? ; que donc, ce qui s’impose est de dire :
1° Plenel,… à ‘’Paris Match’’,
2° Médiapart, à ceux qui veulent changer ceux qui veulent changer le monde ?
Ou, à tout le moins, ceci vu la nature de nos VRAIS ‘’problèmes’’ (naturellement, je parle ici de la crise ‘’de la dette’’ qui s’apprête à nous resservir les mêmes plats –épouvantables !- que ceux que la crise dite ‘’de 1929’’ a servis aux ‘’peuples’’ dans les années 1930) d’interpeller ‘’La Rédaction’’ dans les termes suivants :
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Chère Rédaction,
Soit :
-la Duplication de l’Endettement Transnational des Pays (DETP),
-le Double Paiement des Intérêts Transnationaux (DPIT),
-leurs démonstrations par a + b (cf. : ‘’La crise ''de la dette'' : la dramatique méconnaissance des LOIS de l'économie internationale (1/3)) ; ‘’La crise ''de la dette'' : le Double Paiement des Intérêts Transnationaux (DPIT)'' (2/3)’’),
-les statistiques du FMI et de la World Bank qui les confirment au-delà de tout doute raisonnable ;
Et si, forte de tout cela, ce que Tu entreprenais de faire savoir soit que, non (certes NON !), l’endettement transnational (ou si Tu veux ‘’international’’) des pays N’EST PAS ce que, jusqu’à aujourd’hui, si ‘’irresponsablement’’, tous les… ‘’responsables’’ ont laissé entendre et laissent entendre que c’est, savoir ‘’la conséquence de… notre (NOTRE !) hystérie dépensière’’ ; que donc, ‘’maintenant, il va bien falloir que nous (NOUS !) acceptions de nous passer la corde au cou’’ ?
Chère Rédaction,
L’objectif étant aujourd’hui de ‘’changer’’ le capitalisme (en fait, de le REVOLUTIONNER –non ?), je ne doute donc pas que TU admettes qu’une telle ‘’ligne’’ éditoriale aurait VRAIMENT du sens ; que donc, au lieu de ne faire que cela : documenter (note que je ne dis pas ‘’créer de toutes pièces’’ !) les saletés des politicien(ne)s (après celles de ceux/celles dit-e-s ‘’de droite’’, aujourd’hui, celles de ceux/celles dit-e-s ‘’de gauche’’), enfin, TU acceptes AUSSI d’enquêter sur la façon dont, si elle veut un jour avoir quelque chance de réussir, la révolution DOIT, par les ‘’révolutionnaires’’, être NECESSAIREMENT ressourcée.
Oui, TU l’admets ? Et TU acceptes de travailler SERIEUSEMENT à ce ressourcement ? En acceptant de faire taire TES préjugés et préconceptions à l’encontre de ce que TU ne comprends pas ?
A la bonne heure !
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Jean Tramuset