Cet ouvrage est d’actualité voire précurseur, dans sa prise en compte de "la société de l'information" et de l'interculturel qui résultent de la mondialisation et de la médiatisation des échanges. La crise de croissance que traverse l’enseignement du français et des Lettres donne lieu à des réponses, tant sur les terrains communicationnel et culturel que des valeurs éthiques et citoyennes.
Ce livre cherche à penser les langues et les cultures dans un monde traversé par la mondialisation néo-libérale, et en même temps par des aspirations enracinées dans le local.
Pourquoi l’impression qui est retenue est-elle souvent celle d’une cérémonie dans l'ensemble débridée et du "too much", qui a entaché l'iconique défilé des équipes de sportifs et des artistes qui les accompagnaient?
Le chaos est déjà là, les prévisions d’experts nous décrivent l’effondrement à venir. Mais aucune de ces prévisions ne présente une vue d’ensemble qui permette de parer au plus urgent, au plus fatal. Les menaces s’inter-fécondent en monstrueux accouplements.
Ce livre est d’une brûlante actualité. En effet, il jette d’autres regards sur les questions d’identité qui dévorent nos sociétés tentées par l’uniformisation et habitées par des dénis d’altérité récurrents
A partir du prisme de leur symbolique, cet ouvrage d’anthropologie culturelle met en exergue la diversité des langues et des cultures régionales. Comme source de démocratisation et de développement.
La cité internationale de la langue française, inaugurée récemment à Villers-Cotterêts, se donne pour objectif de conjuguer langue française et cultures de la francophonie, dans un même élan universaliste. L’ambiguïté de ce projet est à relever, d'autant qu'une nouvelle fois, les langues dites régionales sont exclues du dispositif.