J'irai tout doucement, car je viens de raccrocher au nez du répondeur de Mediapart, tout fébrile de la rencontre d'hier. J'ai la période créative, et point solitaire.
Toujours cette inquiétante promesse de mort, sinon de souffrances insupportables, et toujours ce ridicule manque de respect, de la part de ces êtres omniscients, qui refusent de lire un livre mais soutiennent connaître chaque vérité.
ça rape autrement bien en banlieue parisienne et dans toutes les villes de France qu'à Paris, à Paris ce sont surtout des experts du vélo et de la bouffe bio, mais le rythme est abandonné aux parasites.
Le rap dérape souvent là où ça glisse le plus souvent, Toujours la dose de pourri pour la balance, in France, F'en miche, je zig-zague à ma source sans m'arrêter, La leur clouer au passage, en passant. D'hier, un régal.
Mon miroir m'a pas dit Adolf, pas de coup de poing, Pas de coup de boule, mais le compliment une seule fois.
Je ne peux pas te remercier, F, mon beau-père. Je n'ai en effet pas de "rentrée" en ce mois de septembre puisque tu m'as vu comme hier, aussi fonctionnaire, aussi profession libérale que toujours, toujours aussi scolaire.
Je n'écrirai donc plus de choses "personnelles", E, Je ne serai plus sincère avec toi, je feindrai de t'écouter, Et on continuera à se défier du regard, comme un absurde bras de fer.