Ma fierté, mon bonheur, celui de ridiculiser un petit monsieur quelconque, pleutre et lâche dans sa chair, puisant et irréprochable, irréprochable dans son costume. 

Il manque l'envers de la structure. Que serait cette manivelle sans ces messieurs-dames mafieux, mafieuses ? 

Oops... J'ai sottement placé le dessin à gauche ; ça sera tout bordélique ; je ne sais pas où me mettre ; escape the box ; escape the tantalion ; 

Border line Jazz ; électrochocs saudade ; rêves de lampe. 

Toujours les doigts dans la tête depuis l'école parisienne, bourgeoise et catholique, j'ai viré anarchiste, et suis plus certain de mourir authentique libertaire que du cancer que me promet ma consommation de tabac et d'alcool. Toujours le vortex de la marginalisation en perspective.

Sauf que. Aujourd'hui je me réveille. Aujourd'hui lundi 22 septembre 2025, je deviens sérieux, sinon professionnel.  

Les escalateurs obsessionnels, prêts à bondir pour bomber le torse et se payer du luxe dès que le gouvernement en place connaît une crise plus aigüe que sa simple impopularité. 

Mode promo aussi, mon site : diegosopenlair.com. Une page pour l'instant. Davantage dans un futur du prochain. Amitiés aux lecteurs de Mediapart.