Focus : d’une tendance gynarchique, Schiappa cathodique

 

Marlène Schiappa, la miss Hanouna du Gouvernement, poursuit une lutte qui s’inscrit plus sur le terrain du féminisme gynarchique que sur la protection des femmes victimes de violences conjugales. Prompte à retirer une autorité parentale ici, à la déchoir là, sans se poser la question de l’autre trauma.

Si ce combat peut paraître noble, il faut savoir que le droit actuel permet déjà d’apporter à ces femmes une protection rapide et de sanctionner les auteurs.
Le problème majeur étant dans la réceptivité des forces de l’ordre face aux plaintes des victimes.

 

Il est autre considération que madame Schiappa oublie en sa propagande féministe: le droit des hommes et au-delà le droit des pères.

 

Qui parle des actes de violence dont sont victimes les hommes de la part de leurs conjointes et compagnes?
Qui se soucie de ces hommes qui par honte n’iront jamais franchir le seuil d’un commissariat ou d’une gendarmerie ?

Qui osera évoquer la problématique du droit des pères?
Combien de pères sont entravés dans leurs droits ?
Combien sont laissés dans l’absence de leurs enfants?
Combien sont effacés derrière la croyance erronée des mères naturellement bienveillantes ?

Qui ignore encore le hiatus énorme qu’il y a entre l’homme et la femme face aux droits à l’enfant ?
Qui ignore encore la toxicité de certaines mères sur leurs enfants?
Qui ignore encore encore une justice apriori favorable à la mère ?

Je pose la question des droits des hommes et des droits des pères..