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Farid Ghehiouèche & Kenzi Riboulet-Zemouli

Spécialistes en politiques internationales en matière de plantes classées comme stupéfiantes ou psychotropes ; avec un regard particulier sur la Méditerranée, au nord et au sud

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Événement 18 février 2024

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Cannabis et Biopiraterie - Conférence à l'ONU Vienne

La biopiraterie, impliquant l'appropriation illégitime de ressources génétiques, notamment du chanvre, ancré dans les connaissances traditionnelles, soulève des préoccupations liées aux droits des petits agriculteurs et peuples autochtones, avec un potentiel impact économique, environnemental et social.

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Date

Le 21 mars 2024

Lieu

Bâtiment M (AIEA), Salle M7, Office des Nations Unies à Vienne.

Réservation

Accréditation ONU

Information

Plus d'infos sur : www.cannabisembassy.org/biopiracy


Illustration 1
Plus d'infos sur : www.cannabisembassy.org/biopiracy © Fields of Green for ALL (ONG d'Afrique du Sud)

La biopiraterie désigne l'appropriation illégitime et/ou illégale de ressources génétiques et/ou de connaissances traditionnelles associées. Le chanvre (Cannabis L.), ainsi que de nombreuses autres plantes cultivées, est profondément ancré dans les systèmes de connaissances traditionnelles et représente des ressources génétiques potentiellement associées aux droits humains et droits collectifs de propriété intellectuelle des petits agriculteurs, y compris des peuples autochtones. Le potentiel économique des ressources génétiques du cannabis le rend susceptible à la biopiraterie. Dans le contexte de la prochaine Conférence diplomatique de l'OMPI visant à conclure un traité sur ce sujet, cet événement parallèle à la 67ème Commission des Stupéfiants de l'ONU introduira la biopiraterie et explorera comment les contrôles juridiques internationaux impactent les efforts de conservation pour les ressources génétiques du cannabis et les connaissances traditionnelles.

Avec les interventions de : Chris S. Duvall, Myrtle Clarke, Kenzi Riboulet-Zemouli, et les témoignages de : Sam the Skunkman, UMZV farmers network (South Africa), Aotearoa Indigenous Network Trust

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