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Portfolio 21 octobre 2021

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Sexe Mais Pas Queue.

Faire l'amour augmenterait l'espérance de vie, préviendrait l'apparition de problèmes cardiaques et même de certains cancers. La santé bénéficie d'une place de choix donc dans nos rapports, le plaisir en demeure essentiel.

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  1. Illustration 1
    © Alfkowski

    le sexe fait du bien. Affichant force professionnalisme, les spécialistes de toutes les branches de la médecine nous l’assurent à qui mieux. Les mouvements du bassin profitent à la colonne vertébrale. La pression sanguine baisse grâce à l’accélération du rythme cardiaque. Le sexe aide – surtout les hommes, semble-t-il – à mieux dormir. Il met de bonne humeur, car il stimule la production des endorphines. Il élève le seuil de la douleur et il favorise la ligne, puisqu’il brûle des calories et prévient les crises de boulimie. Vous ne le croirez pas, mais c’est aussi bon pour les dents, étant donné que les baisers intenses favorisent la salivation. La peau des femmes devient plus élastique, car plus riche en œstrogènes. La musculature masculine s’en trouve modelée grâce à la production de testostérone. Enfin, la proximité physique à laquelle le sexe oblige favorise le renforcement du système immunitaire. En somme, nous avons découvert une véritable panacée ignorée pendant quelques millénaires, et dans laquelle l’industrie pharmaceutique n’a apparemment aucun dividende.

    Sans oublier les préliminaires, qui seraient eux aussi bon pour la santé. C'est du moins ce que suggère un chercheur australien. D'après lui, la stimulation des tétons chez la femme, en libérant une hormone appelée l' ocytocine, pourrait prévenir l'apparition du cancer du sein. L'étude précise même que l'ocytocine est libérée en grande quantité lors de l'orgasme, et que l'activité sexuelle pourrait donc avoir un rôle protecteur contre le cancer du sein.

    Voilà pour le côté technique.

    Les dernières décennies ont été porteuses de changements radicaux dans le champ de la sexualité. La déghettoïsation de l’homosexualité et la banalisation de la pornographie ont succédé à la révolution féministe. Ce qui était considéré comme normal en matière de pratiques sexuelles s’est étendu au point de rendre superflu le concept de déviance qui ne s’applique plus qu’en cas de violence, négation, écrasement ou avilissement de l’autre, hors consentement bien sûr.

    Chacun sa came donc, comme dirait l'autre, de la réciprocité émerge le sentiment de liberté nécessaire au bien-être, Obsolète la culpabilisation des sens, bien se trouver pour entrer en osmose, fâcheux pour les bégueules, tant pis..

    Et la tendresse bordel!!  Le sentiment amoureux désigne un sentiment fort, probablement l'un des plus puissants que l'être humain puisse ressentir. Ce sentiment a la particularité d'apporter énormément d'énergie, et d'être souvent accompagné de légèreté et de joie, l'ivresse des émotions. 

    L'un empêche pas l'autre mon ami, selon l'humeur du jour et surtout, surtout, le tempérament, à respecter, de chacun. Santé, Sexe, Passion, tout est bon dans le cochon..

    Charnellement votre.

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