Une avancée scientifique majeure dans la compréhension de la démocratie en France
À l’heure où l’apport des sciences à la société est remis en question, une démarche novatrice a été initiée par une unité de recherche en sociologie de l’Université de Criquetot le Mauconduit (Seine maritime). Pour la première fois, un programme de recherche mêlant sciences politiques et astrophysique a été développé, établissant un nouveau modèle du fonctionnement de la démocratie en France.
Comme le montre l’infographie ci-dessus, ce modèle a permis de mettre en évidence plusieurs phénomènes, dont certains étaient pressentis mais n’avaient jamais été décrits avec une telle précision. On savait par exemple que dans l’espace, il n’existe ni haut ni bas. Et pourtant, les calculs montrent qu’il y existerait bien une gauche et une droite, ce qui contredit la thèse qui prévaut depuis 2017. Le champ de force bilatéral universel serait simplement déséquilibré vers la droite par un particularisme de notre espace local lié. Hostiles à cette idée, les ministres de l’Éducation et de la Recherche travailleraient à l’organisation d’un contre-colloque. Mais il semblerait que l’avancée scientifique soit déjà largement saluée par le monde académique.
La véritable nature de l’élection présidentielle dans notre système stellaire ne fait désormais plus de doutes aux yeux des spécialistes : il s'agit bel et bien d'un trou noir, ce monstre du bestiaire astral dont aucune lumière ne peut s'échapper.
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En avril 2022, selon l’Insee, les prix des produits de grande consommation vendus dans la grande distribution ont augmenté de 1,3 %. Une hausse des prix que subissent de plein fouet les plus modestes. À Roubaix, ville populaire du nord de la France, la débrouille règne.
Plus respectueux des règles de parité que dans le passé, les partis politiques ne sont toujours pas à l’abri d’un biais de genre, surtout quand il s’agit de réellement partager le pouvoir. Nouvelle démonstration à l’occasion des élections législatives, qui auront lieu les 12 et 19 juin 2022.
Ces deux dernières années, celle qui vient de devenir première ministre était affectée au ministère du travail. Tous les responsables syndicaux reconnaissent sa capacité de travail et sa propension à les recevoir, mais ont aussi constaté l’infime marge de manœuvre qu’elle leur accordait.
Le député Jérôme Lambert, écarté par la Nupes et désormais candidat dissident pour les élections législatives en Charente, vit dans un logement parisien de 95 m2 pour 971 euros par mois. « Être logé à ce prix-là à Paris, j’estime que c’est déjà cher », justifie l’élu qui n’y voit rien de « choquant ».
Notre pays a donc désormais un premier ministre – ou, plutôt, une première ministre. La nomination d’E. Borne aux fonctions de premier ministre par E. Macron nous incite à une réflexion sur le rôle du premier ministre dans notre pays
Depuis sa nomination, Élisabeth Borne est célébrée par de nombreux commentateurs comme étant enfin le virage à gauche tant attendu d'Emmanuel Macron. Qu'elle se dise de gauche, on ne peut lui retirer, mais en la matière, les actes comptent plus que les mots. Mais son bilan dit tout le contraire de ce qu'on entend en ce moment sur les plateaux.
Le problème le plus saisissant de notre démocratie, c’est que beaucoup de gens votent pour autre chose que leurs idées parce que tout est devenu tellement confus, tout n’est tellement plus qu’une question d’image et de communication, qu’il est bien difficile, de savoir vraiment pour quoi on vote. Il serait peut-être temps que ça change.